Stop au système Microstock de casse des Droits des Auteurs !

droit d’auteur

S’assoir sur le droit d’auteur

 


" … les droits des créateurs ne peuvent plus être bafoués impunément sur internet …"

Y’en a même, parait-il, qui ramassent du pissenlit sur les autoroutes !

 

Un papier "haut en couleurs" sur le blog Istaota (on est combien en France à mettre en lumière les pratiques explicitement anti-auteur, anti-CPI) : 4, 5 ?

Votre truc, c’est plus d’inviter un idéologue du flux numérique dominant qui sert la soupe aux marchands de soupe et de faire dans le webdocu -de mon cul-  de "mettre en perspective les questions relatives aux narrations spécifiques au multimédia " ? Ou dans le marronnier : l’issue pour les photographes c’est d’être "artiste", artiste et bouffer des pissenlits en pointant au RSA ? La "renommée internationale" de Fontcuberta, ou de ne je sais qui : rien à foutre!

 

Politiques et droits d’auteur

Dans le style "libre de droits gratuit sans nom d’auteur" vous avez également à "gauche de la gauche" au niveau des politiques : Clémentine Autain, avec pour l’en-tête de son blog, une photo de cerises prise en studio,  C Autain  est co-directrice du mensuel Regards … avec abonnement à la photothèque gratuite truc chouette …

La liste pourrait être très longue …

 

 

 

Rétrograde vis à vis du progrès …

 

Il y a quelques temps j’ai reçu un commentaire que j’ai mis de côté, non pas comme on mets une bonne bouteille de rouge à la cave (çà fait longtemps d’ailleurs que les bonnes bouteilles de rouge me passent devant les yeux, uniquement devant les yeux), pour mieux la déguster, mais plutôt pour y répondre, au moment où j’en ai le temps et l’envie, l’envie d’en mettre une bonne couche …

 

Commentaire reçu :

Bonjour,

à mon avis, vous vous trompez de combat en soutenant la création de cette association. [commentaire posté sur le billet Association de lutte contre le libre de droits]. Vous raillez un monde de business pur mais je vois difficilement comment les licences libres seraient responsables ou participeraient à un tel état de fait.

Quand vous prenez une photo, rien ne vous oblige à la publier. Vous pouvez très bien la garder pour vous, et la vendre ensuite au prix qui vous convient, avec ses droits [Impossibe de céder des droits à un tarif décent étant donné la mainmise des voyous des microstocks qui ont phagocytés le marché avec leur daube de photos de cadres aux dents bien blanches à 0,75 cents pièce et avec les milliards de photos gratuites des amateurs sur le net ] , tout comme pour les brevets.

Par contre à mon sens, vendre une photo et se permettre de continuer à garder des droits restrictifs à l’utilisation dessus après sa vente est très regrettable et ne profite que d’une manière inéquitable à l’auteur [Celle là c'est la meilleure], et nullement à la société [Que veut dire "la société" ? Des salariés bien au chaud dans des services com de structures publiques et parapubliques qui boycottent les auteurs pour décorer leurs feuille avec des visuels à 0,15 cents via un abonnement à un microchiotte ! C'est çà "profiter à la société" ! Toucher des droits d'auteur jusqu' en fin de vie sur mes photographies réalisées toute ma vie -à mes frais- m'aurait permis de toucher une micro-retraite pour vivotez, même pas droit à çà ! Le système de casse sociale qu'est le microstock et autres "libres de droits gratuits" à pulvérisé cette possibilité, tout le monde n'est pas ingénieur avec un bon salaire qui tombe tous les mois et avec un droit à la retraite en conséquence ...].

Il n’est aucunement risqué de conjecturer que le “propriétaire” n’a semble-t’il aujourd’hui que moins d’avenir face au “libre”. A vitesses différentes selon les domaines, les encyclopédies se sont progressivement pliées face à Wikipedia, le logiciel libre conquiert de plus l’internet, et grâce aux licences Creative Commons, on bénéficie de plus en plus de ressources artistiques libres, idéales pour initier un site. [Le tout gratuit en permanence c'est génial hein ! Les religieux du libre qui brament sur le thème de la liberté (du libre) de se servir  pour pas un rond, tout gratuit pour ma pomme, ma culture, mon site web, ma promo, ... les voitures gratuites avec du carburant gratuit : c'est pour quant ? Qu'on puisse se déplacer à l'oeil afin de se cultiver à l'oeil dans des salles de spectacle avec entrée gratuite, avec un verre de Sauternes offert à la sortie !].

Sachez qu’un droit d’auteur n’est pas illimité [Le CPI je connais !] et que tôt ou tard, votre oeuvre tombera dans le domaine public. Il m’est difficile de concevoir alors, comment le fait de ne pas libérer cette oeuvre le plus tôt possible ne serait pas rétrograde vis-à-vis du progrès ["Rétrograde vis à vis du progrès" : celle là elle est bonne ! C'est de la haute philosophie!]

 

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Je ne me trompe pas de combat en combattant le viol du droit d’auteur, je suis, Monsieur, dans un combat pleinement légitime, un combat vital, un combat pour des conditions de vie décentes avec des revenus décents, de manière à vivre décemment,  en pouvant bouffer, me déplacer,  …, et payer par exemple des taxes pour déchets professionnels [que je ne produis pas] à une communauté de communes (qui utilise des photos libres de droits), des abonnements imbuvables à une société d’eau dont les actionnaires s’empifrent, des factures EDF hors de prix, des assurances à des sociétés qui exhibent leurs dépliants qui dégoulinent de jeunes gens bcbg libres de droits microchiottes avec des sourires de décérébrés,  etc, …

Le libre de droits s’assoit sur le Code de la Propriété intellectuelle, ce code est un bouclier social pour les auteurs, une avancée sociale, on nous bouffe nos vies en le violant ! En combattant  le dumping social (photos, graphismes, clips vidéos,  vendus des clopinettes, moins cher que des patates, 0,15 cents avec un système d’abonnement), en combattant la casse sociale (le modèle économique "microstock" nous envoit au RSA, nous les auteurs), je ne fais que continuer (j’espère avec beaucoup d’autres ?) le combat qui a déjà duré des siècles et qui nous a permis, nous les auteurs, de vivre a peu près décemment jusque tout début du vingt-et-unième siècle siècle. Mettons 2005 comme date à partir de laquelle nous sommes entrés de manière bien lourde dans le n’importe quoi, celui des "voyous-épiciers-sociétés de capital investissement",  des microstocks, bandits appuyés par d’innombrables irresponsables dans les structures publiques, discoureurs électoralistes du plein emploi pour tous, qui n’ont pas le moindre complexe à nous boycotter pour préférer les visuels à 3 francs six sous de ces officines (avec siège sociaux souvent aux usa), officines  hors la loi (pas de versement de charges à l’Agessa, pas de versement de tva, viol permanent des droits des auteurs, …).

Est ce que les ingénieurs sont payés en "libre de droits salarial" à 3 euros de la journée au niveau de leur profession ? (L’auteur du commentaire est ingénieur, c’est précisé ds les mentions légales de son blog, dont je ne vais pas faire de pub).

 

"… garder des droits restrictifs à l’utilisation dessus après sa vente, est très regrettable et ne profite que d’une manière inéquitable à l’auteur, et nullement à la société…"

 

Une société qui envoit au RSA de manière explicite des milliers d’ auteurs çà profite pleinement et dégueulassement à une poignée de business men, ceux du capitalisme le plus éffréné et le plus puant.

Des auteurs qui vivent décemment en touchant des droits d’auteur à un niveau décent çà permets de participer à la vie de la société, c’est une histoire de paix sociale qui est en jeu …

Le mélange "logiciel libre" – droit d’auteur, je croyais que la question avait déjà été éclairci depuis un bon moment déjà!

 

… comment le fait de ne pas libérer cette oeuvre le plus tôt possible ne serait pas rétrograde vis-à-vis du progrès…

 

Chez moi le "progrès", ça renvoi au progrès social, et pas à la merdonité qui consiste à utiliser internet à des fins de dumping social exacerbé et pernicieux en manipulant les gens avec de la rhétorique "cyber-techno" ! On n’a pas à s’adapter à la domination cyber-techno anti auteurs des cyniques du capitalisme ultra-libéral ! On n’est pas des veaux ! La domination on a, à la combattre, sans répit, toujours et partout … ! Pas question de se faire vampiriser nos travaux réalisés à nos frais depuis des décennies, tout çà pour satisfaire, entre autres,  des bobos abonnés aux mega-upload et aux iphones dernière génération assemblés en Chine par des gamins de 10 ans … L’économie au black des microstocks, économie au black à ciel ouvert avec l’appui explicite de structures institutionnelles et la bénédiction des médias vendus au marché est une économie tueuse d’auteurs …

Aux chiottes le système microstock !

FUCK OFF !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Casse des droits des auteurs

 

Loi sur les livres indisponibles

Une loi à la sauvette, du mépris pour les auteurs, en catimini !

 

Résumé de la situation sur le site ame-nature.com :

99 % des livres parus au XXe siècle sont concernés : leur auteur n’est pas mort depuis plus de 70 ans,  et l’éditeur a cessé l’exploitation. Sauf actualité particulière, le livre ne sera jamais réédité. Leur nombre est estimé à 500 0000 (voire un million). La France prévoit de les exploiter numériquement. Rien n’est prévu pour le photographe qui n’a pas signé le livre mais a des photos dedans, vu qu’il n’est pas considéré comme auteur : il n’aura donc pas le choix. Quant aux auteurs, ils ont peu de temps pour agir !
..
.
Le cas des photographes qui ont des photos dans un livre sans en être l’auteur n’est tout simplement pas évoqué, de même que le cas des auteurs qui ont des poèmes ou des chansons, ou qui ont accepté la publication d’extraits : ils ne pourront que constater l’exploitation gratuite ad vitam aeternam de leurs œuvres sous forme numérique.

La question des œuvres orphelines est plus large et des bruissements tendent à faire penser qu’on va vers la possibilité de l’exploitation gratuite de toutes les œuvres orphelines de plus de 10 ans d’âge, y compris les photos, selon un possible projet de loi européen.

 

Facebook le droit du serf

Pétition Le droit d’auteur doit rester inaliénable

 

 

Jeudi 23 février 2012

Sur l’Express.fr :

Mercredi 22 février, le Parlement a adopté une loi sur la numérisation des livres indisponibles du XXe siècle permettant d’acheter des ouvrages introuvables hors des bibliothèques. Les auteurs ne sont pas tous d’accord … Article intégral.

sur ActuaLitté :

Adoptée tard dans la nuit, par un hémicycle quasi-désertée, la loi sur la numérisation des oeuvres indisponibles du XXe
siècle aura fait l’unanimité chez les parlementaires. Aucune explication de vote n’aura été demandée …
Article intégral

 

 

Le droit d’auteur en photographie selon Hadopi

 

La Haute Autorité a pour mission de protéger le droit d’auteur en rappelant au citoyen ses droits et ses devoirs. http://hadopi.fr/la-haute-autorite/lhadopi-en-bref

 

 

Sur le blog Istaoa (à propos des photographies reproduites sur le site de l’Hadopi) :

 

On appréciera au passage l’utilisation systématique d’images dites (à tort) "Libres de Droits" acquises à vil prix pour défendre les bénéfices gargantuesques des majors du disque et du cinéma. Ultime paradoxe ?

L’Hadopi est clairement hors la loi lorsqu’elle publie ces images sans mention du ou des auteurs. Une attitude d’autant plus impardonnable et injustifiable lorsqu’elle est commise par une institution qui prétend alerter les usagers sur "la circulation non autorisée d’œuvres protégées par un droit d’auteur". http://www.istaota.fr/ista3/actualites/35-actualites/394-hadopi-ne-respecte-pas-le-droit-dauteur-.html

 

 

 

Le non respect du droit d’auteur , c’est à dire le non respect des droits des auteurs (comme le droit basique qui est celui du droit à la signature),  participe allègrement à la précarisation explicite des auteurs-photographes ! Précarisation finalisée par les épiciers hors la loi des microstocks  (vente à tarifs cassés de photographies, de graphismes, de vidéos, de sons, en "libre de droits"). 

Le droit d’auteur est un bouclier social!

Vive Jean Zay !

 

 Jean Zay et les droits des auteurs.

 

 

 

5 degrés dans ma chambre ce matin, combien fait-il dans les bureaux de l’Hadopi ? 20 degrés, 22 ?

 

 

 

 

Jean Zay

 

Souvenirs et solitude.
Jean Zay.
Belin littérature et revues, collection : Biblio Belin sc (octobre 2010).
512 pages.

 

 

Les hommes qui ne rêvent point la nuit perdent un tiers de leur existence.  Jean Zay, Souvenirs et solitude.

 

 

En 1936, Jean Zay devient le plus jeune ministre jamais nommé à l’Éducation nationale et à ce qu’on n’appelle pas encore la Culture, dans le gouvernement de Front populaire de Léon Blum. Partisan de la fermeté envers Hitler et de l’intervention en Espagne, il sera sans relâche attaqué par l’extrême droite française comme républicain, juif et franc-maçon, et
constamment désigné comme un homme à abattre.

En octobre 1940, il est condamné à la déportation par le tribunal militaire de Clermont-Ferrand aux ordres de Vichy, et emprisonné à Riom jusqu’au jour où – le 20 juin 1944 – des miliciens viennent l’arracher à sa prison pour l’abattre dans un bois.

Dans sa cellule, Jean Zay écrit au jour le jour, tout en s’attachant à composer un volume dont il espère qu’il sera un jour publié. Souvenirs et solitude nous fait entendre, comme à travers les murs d’une prison et à travers le temps, le récit, pudique mais précis, de la vie d’un détenu. On y lit aussi les réflexions qu’inspirent à cet homme politique de premier plan son action passée, la situation de la France sous la collaboration et l’avenir d’un pays dont il ne désespère jamais.

" En tuant Jean Zay, écrit Patrick Pesnot, en faisant disparaître son corps, ses assassins n’auront pas réussi à le condamner au silence. Son journal de prison nous reste un document irremplaçable qui témoigne de la profonde humanité du personnage et de son esprit novateur. "  Et Pierre Mendès France, l’ami, disait : " Il est demeuré de Jean, pour les hommes et les femmes de ma génération, et surtout pour ceux qui l’ont approché, connu et admiré, une image exceptionnelle de lumière, d’intelligence et d’humanité… Ceux qui l’ont assassiné ont porté un coup non seulement à ceux qui l’ont aimé, mais au pays tout entier. "


 

 

Le grand projet politique de Jean Zay : la loi sociale du travail intellectuel, conformément à l’idéologie du Front populaire.

Jean Zay et les droits des auteurs.

Une politique placée sous le patronage de Jean Zay, ministre du Front populaire.

 

 

 

 

Hollande, Hadopi, droit d’auteur

 

J’ai écouté (et regardé la gestuelle, …) de François Hollande à Nantes, son discours, jeudi 20 janvier, si j’ai bien compris, un discours en ouverture d’une manifestation intitulée : Biennales internationales du spectacle à Nantes.

Fonds de la scène en rouge, un rouge pas trop rouge, un rouge tendance orange sans tomber vraiment dans l’orange, …, une cravate couleur tendance bleue, note froide par rapport au fonds rouge-orangé [la gauche embourgeoisée? La gauche du OUI au référendum sur l'Europe, c'était quant déjà ? Je ne vote plus depuis, quant on prends le peuple pour des blaireaux, les blaireaux qui n'en sont pas,  ne votent plus, c'est le minimum de conscience démocratique ! Vive la Démocratie REELLE !), je n'ai  pas entendu une seule fois l'expression "droit d'auteur", çà s'arrange un peu mieux avec Aurélie Filippetti, elle, elle parle [deux fois "elle" çà s'adresse à ces "gens-là"], du droit d’auteur (avec en back ground la problématique des cinéastes -quelle est-elle exactement cette problématique?-) :

 

Nous, ce qu’on veut faire, c’est séparer deux choses, d’abord protéger le droit d’ auteur, donc empêcher tout ce qui est contrefaçon marchande, et là il faudra appliquer le droit de la lutte contre la contrefaçon … le droit il existe … Vidéo-France Inter 20-01-2012

 

 

 

Le droit d’auteur pour les producteurs de biens symboliques (photos, graphismes, vidéos, …), c’est avant tout un bouclier social (notamment pour les plus fragiles économiquement), une protection, une possibilité de vivre décemment de ses travaux. Et le droit d’auteur en photographie, en graphisme, en vidéo, … (Droit pour les auteurs d’exister pleinement dans la société, d’y vivre "comme tout le monde") est pulvérisé par le "modèle économique microstock", modèle qui d’une certaine façon a été de manière éhontée, sanctuarisé par l’Etat,  via Hadopi et le programme "Passeport pour l’économie numérique". Cette pulvérisation arrange beaucoup de monde, à droite, comme à gauche (suffit de regarder les crédits photo des supports de com des structures publiques : Région,  Conseils généraux, villes, CC, … , la tof à deux balles, c’est bon à prendre. Problème : vos taxes et vos abonnements ne sont pas à deux balles (redevances déchets, abonnement eau, abonnement EDF, …), … Et je ne connais pas d’assureurs avec des contrats à 2 balles et des marchands de carburant à 0,75 cents le litre !

 

Les visuels sur Flickr çà fonctionne ?

Hollande veut supprimer et remplacer Hadopi

 

 

 … ce qui est une erreur, pour un pouvoir de gauche, c’est d’affronter une crise du capitalisme sans rien construire d’idéologique. Le flou actuel du PS nous pousse à redoubler d’efforts, non pas face au PS ou contre le PS, mais pour organiser le grand nombre qui est désorienté, désemparé… Il faut proposer un contenu radicalement alternatif … JL Mélenchon sur le Monde.fr 21/01/2012.

 

 

 

 

Auteur libre de droit !

 

Photo de Joe. Un photographe promotionne son système de diffusion gratuite de photos  pour la presse dans le bureau presse  de la fête maritime DZ 2006, une offre toujours valable en  2011 …

 

Une nouvelle profession : auteur en libre de droit !

 

Comment fait-on pour céder des droits (en conformité avec le droit français, le CPI) sur des sujets comme des fêtes maritimes, ou autres, quant des photographes donnent leurs photos en "libre de droits" jusqu’au format 1/2 page ? 

Faites moi un dessin !

Qu’est ce qui peut amener des photographes (qui peuvent même pousser le bouchon de la duplicité jusqu’à être membre d’organisations d’auteurs !) à montrer leur "talent" de manière  aussi explicite pour le "libre de droits", alors qu’ils connaissent parfaitement les textes sur le droit d’auteur ? Quel est le but d’une telle forfaiture ?

- Avoir un book presse qui jette pour obtenir des commandes d’entreprises ?

- Coller aux désideratas des organisateurs qui arrosent gratuitement la presse pour assurer la promo de leur manifestation (photos que l’on retrouvera en pagaille signées DR dans le supplément d’un journal local, "une caricature" de DR, …) ?

- Avoir la commande de la couverture de la manifestation (plus des avantages : bureau personnel avec connexion internet, zodiac à disposition, …) ?

- Eradiquer toute concurrence éventuelle avec le système de nivellement du "libre de droit" (celui du degré zéro de la photographie d’auteur ! Celui du mépris le plus total pour la notion d’auteur !) ?

Envoyer "la" bonne réponse au Service Jeux de Grenouille Niouzes, le gagnant aura droit à un séjour illimité 100% libre de droits au pays des Fauxtographes …

 

Ce genre de pratique misérabiliste nombriliste élitiste en panne,  légitime l’existence du "libre de droits microstock" et autres DR de mes deux !

Vous piétinez les plus fragiles des auteurs avec ces pratiques qui promotionne le n’importe quoi (c’est un euphémisme !) !

Vous décribilisez la profession d’auteur-photographe !

Vous essayer de garder la tête hors de l’eau tout en ayant les pieds sur les épaules de ceux qui sont déjà sous l’eau (méfiez vous : on a peut être des branchies), pratique irresponsable d’une élite  …

 

Vous êtes sur un site qui a des branchies … gre gre …

 

 

 

 

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