libre de droits
Parachèvement du rouleau compresseur anti-auteurs
Après avoir mis en place une multitude de partenariats à droite et à gauche (par exemple un partenariat avec un hébergeur low cost -celui qui fait actuellement du matraquage, depuis au moins 2 mois, sur des chaines de la TNT sur le thème "votre site gratuit en 3 clics …"-), rendant omniprésent (une omniprésence massive) le "libre de droits" gratuit, ou à tarifs cassés, voilà maintenant le parachèvement du rouleau compresseur anti- auteurs : l’intégration de 16 millions d’images et de vidéos "libre de droits" dans la suite d’Abode dernières versions, la 5, et la 6.
Les graphistes, abonnés Adobe et adeptes invétérés du "libre de droits" et de la tof quasi gratos, bouffent la vie des auteurs-photographes, et les graphistes se font eux-mêmes bouffer la vie par les graphistes-fournisseurs de graphismes "libre de droits" prêts à consommer via le système microstock !
L’info est sur le blog version US du microstock, et sur :
Pression des électeurs et pression des marchés
Une vidéo intéressante sur la stratégie présidentielle (l’accès au pouvoir et la gestion du pouvoir une fois élu) et la stratégie des opérateurs financiers :
Le plan de bataille des financiers
Les financiers au coin du bois
Le plan de bataille des marchés (traduction de la note de 9 pages)
C’est regrettable pour François Hollande, mais la nécessité d’une libéralisation du marché du travail est le résultat direct d’une appartenance de la France à la Zone euro, aussi ne peut-on avoir l’une sans avoir l’autre… Texte intégral.
Libéralisation du marché du travail, flexibilité du marché du travail : en clair, çà consiste à foutre en l’air le CDI …. !
Le travail "libre de droits" en quelque sorte, tous précaires… ! Après le piétinement du CPI : le parachèvement de la casse du CDI !
Les marchés ne sont pas rassurés par l’issue du premier tour
Mon vote du 22 avril 2012
Les raisons de mon "vote" : voir "Articles relatifs" !
Bonus libre de droit gratuit de chez gratuit :
Mairies et Offices du Tourisme des autres communes et la Communauté de Communes ont trouvé tous les moyens possibles pour éviter de faire travailler un photographe professionnel, du concours photo amateur destiné à se constituer une photothèque gratuite en arnaquant les amateurs sur leurs droits d’auteurs jusqu’au piratage des photographies de professionnels (y compris les miennes) en passant par le recours à des travailleurs « au noir » qui ne sont inscrits ni à la Chambre des Métiers ni à la Chambre de Commerce ni à l’Agessa (Urssaf des auteurs)… Mieux encore et surtout très énervant, les élus locaux tiennent leurs grands discours du genre : « Nous oeuvrons pour développer l’économie et dynamiser l’emploi » … Le problème dépasse à mon avis le terrain du droit d’auteur et remet en cause le droit au travail des professionnels car pour bien des élus, la photographie n’est pas perçue comme une activité professionnelle… Texte intégral (Il faut cliquer sur la petite flèche en bas de l’article pour avoir la suite).
Top super Bonus libre de droits super top gratuit :
Libre de droits, boycott, taxes …
Tournée générale :
Rétrograde vis à vis du progrès …
Il y a quelques temps j’ai reçu un commentaire que j’ai mis de côté, non pas comme on mets une bonne bouteille de rouge à la cave (çà fait longtemps d’ailleurs que les bonnes bouteilles de rouge me passent devant les yeux, uniquement devant les yeux), pour mieux la déguster, mais plutôt pour y répondre, au moment où j’en ai le temps et l’envie, l’envie d’en mettre une bonne couche …
Commentaire reçu :
Bonjour,
à mon avis, vous vous trompez de combat en soutenant la création de cette association. [commentaire posté sur le billet Association de lutte contre le libre de droits]. Vous raillez un monde de business pur mais je vois difficilement comment les licences libres seraient responsables ou participeraient à un tel état de fait.
Quand vous prenez une photo, rien ne vous oblige à la publier. Vous pouvez très bien la garder pour vous, et la vendre ensuite au prix qui vous convient, avec ses droits [Impossibe de céder des droits à un tarif décent étant donné la mainmise des voyous des microstocks qui ont phagocytés le marché avec leur daube de photos de cadres aux dents bien blanches à 0,75 cents pièce et avec les milliards de photos gratuites des amateurs sur le net ] , tout comme pour les brevets.
Par contre à mon sens, vendre une photo et se permettre de continuer à garder des droits restrictifs à l’utilisation dessus après sa vente est très regrettable et ne profite que d’une manière inéquitable à l’auteur [Celle là c'est la meilleure], et nullement à la société [Que veut dire "la société" ? Des salariés bien au chaud dans des services com de structures publiques et parapubliques qui boycottent les auteurs pour décorer leurs feuille avec des visuels à 0,15 cents via un abonnement à un microchiotte ! C'est çà "profiter à la société" ! Toucher des droits d'auteur jusqu' en fin de vie sur mes photographies réalisées toute ma vie -à mes frais- m'aurait permis de toucher une micro-retraite pour vivotez, même pas droit à çà ! Le système de casse sociale qu'est le microstock et autres "libres de droits gratuits" à pulvérisé cette possibilité, tout le monde n'est pas ingénieur avec un bon salaire qui tombe tous les mois et avec un droit à la retraite en conséquence ...].
Il n’est aucunement risqué de conjecturer que le “propriétaire” n’a semble-t’il aujourd’hui que moins d’avenir face au “libre”. A vitesses différentes selon les domaines, les encyclopédies se sont progressivement pliées face à Wikipedia, le logiciel libre conquiert de plus l’internet, et grâce aux licences Creative Commons, on bénéficie de plus en plus de ressources artistiques libres, idéales pour initier un site. [Le tout gratuit en permanence c'est génial hein ! Les religieux du libre qui brament sur le thème de la liberté (du libre) de se servir pour pas un rond, tout gratuit pour ma pomme, ma culture, mon site web, ma promo, ... les voitures gratuites avec du carburant gratuit : c'est pour quant ? Qu'on puisse se déplacer à l'oeil afin de se cultiver à l'oeil dans des salles de spectacle avec entrée gratuite, avec un verre de Sauternes offert à la sortie !].
Sachez qu’un droit d’auteur n’est pas illimité [Le CPI je connais !] et que tôt ou tard, votre oeuvre tombera dans le domaine public. Il m’est difficile de concevoir alors, comment le fait de ne pas libérer cette oeuvre le plus tôt possible ne serait pas rétrograde vis-à-vis du progrès ["Rétrograde vis à vis du progrès" : celle là elle est bonne ! C'est de la haute philosophie!]
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Je ne me trompe pas de combat en combattant le viol du droit d’auteur, je suis, Monsieur, dans un combat pleinement légitime, un combat vital, un combat pour des conditions de vie décentes avec des revenus décents, de manière à vivre décemment, en pouvant bouffer, me déplacer, …, et payer par exemple des taxes pour déchets professionnels [que je ne produis pas] à une communauté de communes (qui utilise des photos libres de droits), des abonnements imbuvables à une société d’eau dont les actionnaires s’empifrent, des factures EDF hors de prix, des assurances à des sociétés qui exhibent leurs dépliants qui dégoulinent de jeunes gens bcbg libres de droits microchiottes avec des sourires de décérébrés, etc, …
Le libre de droits s’assoit sur le Code de la Propriété intellectuelle, ce code est un bouclier social pour les auteurs, une avancée sociale, on nous bouffe nos vies en le violant ! En combattant le dumping social (photos, graphismes, clips vidéos, vendus des clopinettes, moins cher que des patates, 0,15 cents avec un système d’abonnement), en combattant la casse sociale (le modèle économique "microstock" nous envoit au RSA, nous les auteurs), je ne fais que continuer (j’espère avec beaucoup d’autres ?) le combat qui a déjà duré des siècles et qui nous a permis, nous les auteurs, de vivre a peu près décemment jusque tout début du vingt-et-unième siècle siècle. Mettons 2005 comme date à partir de laquelle nous sommes entrés de manière bien lourde dans le n’importe quoi, celui des "voyous-épiciers-sociétés de capital investissement", des microstocks, bandits appuyés par d’innombrables irresponsables dans les structures publiques, discoureurs électoralistes du plein emploi pour tous, qui n’ont pas le moindre complexe à nous boycotter pour préférer les visuels à 3 francs six sous de ces officines (avec siège sociaux souvent aux usa), officines hors la loi (pas de versement de charges à l’Agessa, pas de versement de tva, viol permanent des droits des auteurs, …).
Est ce que les ingénieurs sont payés en "libre de droits salarial" à 3 euros de la journée au niveau de leur profession ? (L’auteur du commentaire est ingénieur, c’est précisé ds les mentions légales de son blog, dont je ne vais pas faire de pub).
"… garder des droits restrictifs à l’utilisation dessus après sa vente, est très regrettable et ne profite que d’une manière inéquitable à l’auteur, et nullement à la société…"
Une société qui envoit au RSA de manière explicite des milliers d’ auteurs çà profite pleinement et dégueulassement à une poignée de business men, ceux du capitalisme le plus éffréné et le plus puant.
Des auteurs qui vivent décemment en touchant des droits d’auteur à un niveau décent çà permets de participer à la vie de la société, c’est une histoire de paix sociale qui est en jeu …
Le mélange "logiciel libre" – droit d’auteur, je croyais que la question avait déjà été éclairci depuis un bon moment déjà!
… comment le fait de ne pas libérer cette oeuvre le plus tôt possible ne serait pas rétrograde vis-à-vis du progrès…
Chez moi le "progrès", ça renvoi au progrès social, et pas à la merdonité qui consiste à utiliser internet à des fins de dumping social exacerbé et pernicieux en manipulant les gens avec de la rhétorique "cyber-techno" ! On n’a pas à s’adapter à la domination cyber-techno anti auteurs des cyniques du capitalisme ultra-libéral ! On n’est pas des veaux ! La domination on a, à la combattre, sans répit, toujours et partout … ! Pas question de se faire vampiriser nos travaux réalisés à nos frais depuis des décennies, tout çà pour satisfaire, entre autres, des bobos abonnés aux mega-upload et aux iphones dernière génération assemblés en Chine par des gamins de 10 ans … L’économie au black des microstocks, économie au black à ciel ouvert avec l’appui explicite de structures institutionnelles et la bénédiction des médias vendus au marché est une économie tueuse d’auteurs …
Aux chiottes le système microstock !
FUCK OFF !
Le droit d’auteur en photographie selon Hadopi
La Haute Autorité a pour mission de protéger le droit d’auteur en rappelant au citoyen ses droits et ses devoirs. http://hadopi.fr/la-haute-autorite/lhadopi-en-bref
Sur le blog Istaoa (à propos des photographies reproduites sur le site de l’Hadopi) :
On appréciera au passage l’utilisation systématique d’images dites (à tort) "Libres de Droits" acquises à vil prix pour défendre les bénéfices gargantuesques des majors du disque et du cinéma. Ultime paradoxe ?
…
L’Hadopi est clairement hors la loi lorsqu’elle publie ces images sans mention du ou des auteurs. Une attitude d’autant plus impardonnable et injustifiable lorsqu’elle est commise par une institution qui prétend alerter les usagers sur "la circulation non autorisée d’œuvres protégées par un droit d’auteur". http://www.istaota.fr/ista3/actualites/35-actualites/394-hadopi-ne-respecte-pas-le-droit-dauteur-.html
Le non respect du droit d’auteur , c’est à dire le non respect des droits des auteurs (comme le droit basique qui est celui du droit à la signature), participe allègrement à la précarisation explicite des auteurs-photographes ! Précarisation finalisée par les épiciers hors la loi des microstocks (vente à tarifs cassés de photographies, de graphismes, de vidéos, de sons, en "libre de droits").
Le droit d’auteur est un bouclier social!
Jean Zay et les droits des auteurs.
5 degrés dans ma chambre ce matin, combien fait-il dans les bureaux de l’Hadopi ? 20 degrés, 22 ?
Le crédit photo de : Pays de la Loire, le magazine de votre région
Photo, top super de joe, avec sa super webcam de son pc, ah que vingt dieux çà déchire, de la rhétorique en plus pour légitimer l’oeuvre et j’expose (en étant payé au conseil truc chouette …).
Le libre de droits dans votre région.
Reçu dans ma boîte aux lettre, le support de com de : "Pays de la Loire, le magazine de votre Région" , n°40, nov-décembre 2011, directeur de la publication Mr J Auxiette (PS), le crédit photo est en page 3, c’est toujours le même d’un numéro à l’autre, aucune alternance, le continuum illimitum ad eternam :
Pierre-Bernard Fourmy ou Ouest Médias ou Phovoir sauf mentions.
Donc un nom de photographe (toujours le même), et deux noms de sociétés, la première : avant tout des photos de foot, avec des noms de photographes, quant à la deuxième on en connait le mode de diffusion : libre de droits (vente de disques durs de photos)*.
Le libre de droits précarise les auteurs, auteurs qui respectent le CPI (Code de la propriété intellectuelle, loi de la République) !
Comment fait-on pour vivre décemment en région, quant on utilise les visuels d’une officine libre de droits, plutôt que de faire appel aux auteurs qui habitent la région ?
* J’avais été démarché par cette société en tant que créateur de sites internet, de mémoire :
" Bonjour, société phovoir. Vous allez sur des banques de données ?
"C’est à dire ?"
"des banques d’images ?"
"Ben j’ai ma propre photothèque en ligne et le libre de droits c’est pas vraiment le genre de la maison !"
la nana n’avait pas insisté et avait raccroché aussitôt !
Michel Onfray dans le think tank de Montebourg ?
Je vais construire un mouvement politique à partir du mouvement “Des idées et des rêves”. J’ai décidé de bâtir un think tank [réservoir à idées, NDLR] qui organisera la discussion avec les intellectuels qui m’ont apporté leur soutien (Emmanuel Todd, Michel Onfray et beaucoup d’autres). Je vais aussi lancer une université populaire itinérante qui animera ces débats et fera vivre des idées qui ont toute leur place, aujourd’hui, dans le débat public. Montebourg sur le Journal de Saône et Loire 25/10/2011.
Michel Onfray dans le think tank de Montebourg ? Si oui, comme Michel Onfray connait parfaitement le Droit d’Auteur,* j’espère qu’il va intervenir dans ce "réservoir de pensée" au sujet de la casse sociale chez les auteurs (photographes, graphistes, …), casse sous la pleine et entière responsabilité de sociétés de voyous (avec la complicité de nombreuses structures publiques qui n’ont aucun complexe à décorer leur com avec les "produits" de ce genre de sociétés) qui vendent des photos, graphismes et vidéos au kilo à des prix dérisoires, système économique du "libre de droits", celui de la liberté de violer (curieusement impunément) les lois des Etats comme celui du Code de la propriété intellectuelle, et par la même d’envoyer les auteurs à la précarité, au RSA !
Il y a tous les éléments sur ce site touchant au "système microstock", éléments pouvant remplir un "réservoir de pensée" !
Personnellement je propose de nommer Michel Onfray Ministre de la Culture, avec un ministère disposant d’une structure chargée de rendre gorge aux voyous des microstocks, de leur faire cracher leur pognon, et de dédommager les auteurs qui subissent leur système grossièrement anti-social.
Dans une République il doit y avoir une place pour les auteurs qui respectent le CPI et non l’inverse !
Remettons les choses à l’endroit ! Au plus vite !
Je veux sentir le soleil sur ma peau, la lumière dans mon âme. Michel Onfray, Le Recours aux forêts, Galilée 2009.
Retrouvons le soleil !
* J’ai toute sa production en livre de poche, plus le Recours aux forêts, j’ai contribué à lui verser des droits d’auteur en achetant ses livres, qui, même en version poche, ne sont pas vendus un euro, puisse t’il m’offrir un alcool un de ces quatre, je ne suis pas très loin!