retraite
Des huissiers pour les artistes les plus précaires …
Des huissiers pour les artistes les plus faibles économiquement.
Sur le site du Syndicat national des artistes plasticiens CGT (SNAPcgt), des infos (non reprises sur les sites des organisations d’auteurs photographes -1- et autres) :
Droits sociaux : l’ircec envoie les huissiers
Caisse d’utilité publique et fonds de placement financier
Nous ne sommes plus ici et depuis longtemps dans un principe mutualiste mais dans quelque chose qui se rapproche de plus en plus du fond de pension et de l’intérêt privé. C’est ce qu’il nous faut dénoncer et combattre parce c’est un système profondément inégalitaire et contraire à l’idée de solidarité qui prévaut dans le système solidaire de la sécurité sociale … Suite.
-1- quant on est assujetti (non affilié) est ce qu’on existe en tant qu’auteur-photographe ?
“… un jovial, un consensus MP rurale qui a dirigé le parti socialiste pendant 11 ans …”
D’après Miss Angélique Chrisafis, correspondante à Paris pour le journal britannique The guardian (en date du 13 février 2012) , le candidat à l’élection présidentielle François Hollande a :
"… écarté les craintes de la droite politique à Londres qu’il serait dangereux pour la city. Il a dit qu’il n’était pas agressif, ni vu en France comme très de gauche, et sa volonté de réguler la finance n’était qu’ une reprise du discours de Barack Obama au Congrès. "On pourrait dire que Obama et moi avons les mêmes conseillers." Il a dit que sa position sur une nouvelle réglementation pour le secteur financier était en raccord avec "l’opinion publique" en Europe et était semblable à tous les autres candidats à la présidentielle française, y compris à droite avec Sarkozy.
Hollande, un jovial, un consensus MP rurale qui a dirigé le parti socialiste pendant 11 ans, devrait remporter l’élection présidentielle française en mai. Lors d’un rassemblement récent, il a nommé le "monde de la finance», comme son principal «adversaire», il était alors dans le cadre de la vaste campagne anti-banquier de tous les candidats à la présidentielle française, y compris celle des candidats sur sa droite. Son manifeste politique parle d’ augmenter les impôts sur les très riches, qui ont largement échappés à une grande partie de la charge fiscale française. Mais il est considéré comme un centre-gauche, social-démocrate modéré, dont les mains sont liées par la crise de la dette de la France et le trou béant dans les finances publiques. Son projet est le plus soft des candidats socialistes qui l’ont précédés et ne contiens même pas le projet habituel des socialistes d’augmenter le salaire minimum, mais uniquement celui de maîtriser le déficit public. Sa mesure la plus concrète sur les banques – une loi visant à séparer leur prêt-faire des affaires de leurs «opérations spéculatives» – sont déjà en cours d’examen au Royaume-Uni et les États-Unis, et Sarkozy l’a emporté sur Hollande en annonçant une taxe sur les transactions financières pour la France, ce que l’on l’on appelle la taxe Tobin ou taxe Robin des Bois.
Hollande a écarté le portrait fait de lui comme étant celui d’ un idéologue de gauche et a rejeté les comparaisons avec l’élection de François Mitterrand en 1981. "Les années 1980 ont été une époque différente. Les gens ont dit qu’il y aurait des chars soviétiques sur la Place de la Concorde. Cette époque est révolue, c’est de l’histoire. C’est normal, il y avait des craintes-là. Il y avait eu 23 ans de la droite au pouvoir, le froid était en guerre et Mitterrand a nommé des ministres communistes au gouvernement. Aujourd’hui, il n’y a pas de communistes en France. Ou pas beaucoup … la gauche était au gouvernement pendant 15 années au cours desquelles nous avons libéralisé l’économie et ouvert les marchés pour financer et les privatisations. Il n’y a pas pas de grande crainte… ".
Traduction approximative de Joe Labanane à partir de http://translate.google.fr/, si un "angliciste" souhaite améliorer la soupe (consensus MP rurale, leur prêt-faire des affaires, …) : grenouillenewsAROBASEfree.fr
Effectivement, on a eu le temps de s’apercevoir, depuis 1983, sous Miterrand et sous Jospin que la "gauche" au pouvoir a privatisé un max ! On le sent bien passer quant on paye la note de flotte véolia et autres, la note des poubelles, la note d’électricité, etc … merci la "gauche", merci la droite, … merci à tous …
Ailleurs sur le net :
Hollande, en se bouchant le nez ?
Parce que pour moi, l’enjeu politique est simple et limpide : ou on continue tout pareil en choisissant d’agrémenter
la grande sodomie libérale avec du gravier (droite traditionnelle fascisante) ou de la vaseline (gauche traditionnelle
en mode soumission à la Real Politik), ou alors, on change de braquet et on se décide pour un vrai projet de société.
En gros, le choix est : libéral (le PS et tout ce que qui est à sa droite) ou antilibéral (le Front de Gauche)… Suite sur le blog le Monolecte.
… et les photographes d’illustration générale : on est quoi ?
Une déclaration du Ministre de la Culture pour FR3, au festival Visa pour l'image à Perpignan :
"… le photojournalisme est indispensable à la vie de la photographie, à la vie artistique en général, …, Si nous laissions péricliter un mode d'expression comme celui-là, nous commettrions un véritable crime contre l'esprit, c'est pourquoi je viens chaque année à Visa pour l'image, c'est pourquoi je travaille chaque année sur ce sujet pour essayer d' améliorer l'environnement matériel, administratif, juridique, et j'ai véritablement le sentiment que d'ici quelques semaines nous serons parvenus à un point qui permettra aux photojournalistes de se sentir mieux."
En photo, le "haut" de gamme, ce sont donc les photojournalistes … le photojournalisme c'est la vie et c'est l'art … les grands noms de la photo, les jeunes talentueux, les grands créateurs, …
Les autres, ceux qui réalisent à leurs frais des photographies sur tous types de sujets (souvent sans relation avec l'actualité), qui laissent leurs travaux dans des agences* (des stocks photo en droits gérés, …), … ceux dont on voit les photos (de moins en moins) sur différents types de supports (communication interne des grosses boites, publicité, com institutionnelle, livres, magazines, web, …), ceux que l'on peut nommer des photographes d'illustration générale, sont donc la gamme en dessous, une gamme qui d'ailleurs est censée faire partie des "pans entiers" de la photo partis à la trappe, mis à la tombe, par les casseurs de tarifs abonnés au libre de droits : les micro-stocks.
Le système de casse des micro-stocks ayant été avant tout observé dans son développement, mais jamais vraiment combattu … (on est à mille lieues des actions des intermittents du spectacle, …), et maintenant que ce système à la mainmise sur le marché …
Donc, cette sous gamme, cette sous couche, est une sorte de nébuleuse composée de fantômes économiques, fantômes censés sans doute, pour les derniers survivants, de faire dans le libre de droit, pour coller par exemple à la demande d'un CRT (Comité Régional de Tourisme, …), … voir même censée s'adapter pleinement à la réalité de l'époque : celle du flux numérique libre de droit (labellisé par l' Etat via un organisme censé protéger les droits des auteurs : Hadopi), le flux du libre de droits à partir de 0,15 cents la photo, système ultra-libéral de domination du marché entre les mains de sociétés de capital investissement US, système qui réalise des profits bien juteux (sur le dos de milliers de gentils gars sympas et socialement "très cultivés") avec la méthode du dumping social le plus exacerbé qui soit !
Est ce que Citizen side à un stand à Visa pour l'image ?
Fauxtholia c'est pour quant ? (Déjà qu'avec Ghetty qui possède des micro-stocks comme histockphoto et autres …). Achetez ma tof libre de droits, exclusive, créative et pas chére …
Les fantômes économiques n'ont pas droit à la retraite (Agessa, photographes, retraites).
et tout le monde s'en fout !
* ou (et) qui les diffusent eux-mêmes, cession de droits en direct avec le client, avec à chaque fois des difficultés pour se faire payer ses droits.
Indignez vous !
Indignez-vous !
Stéphane Hessel
Indigène, Collection : Ceux qui marchent contre le vent
"93 ans. La fin n est plus bien loin. Quelle chance de pouvoir en profiter pour rappeler ce qui a servi de socle à mon engagement politique : le programme élaboré il y a soixante-six ans par le Conseil National de la Résistance ! ".
Quelle chance de pouvoir nous nourrir de l ‘ expérience de ce grand résistant, réchappé des camps de Buchenwald et de Dora, co-rédacteur de la Déclaration universelle des Droits de l’ homme de 1948, élevé à la dignité d Ambassadeur de France et de Commandeur de la Légion d honneur !
Pour Stéphane Hessel, le "motif de base de la Résistance, c’ était l indignation".
Certes, les raisons de s’ indigner dans le monde complexe d’ aujourd hui peuvent paraître moins nettes qu’ au temps du nazisme. Mais « cherchez et vous trouverez » : l ‘écart grandissant entre les très riches et les très pauvres, l’ état de la planète, le traitement fait aux sans-papiers, aux immigrés, aux Roms, la course au toujours plus, à la compétition, la dictature des marchés financiers et jusqu’ aux acquis bradés de la Résistance : retraites, Sécurité sociale… Pour être efficace, il faut, comme hier, agir en réseau : Attac, Amnesty, la Fédération internationale des Droits de l’ homme… en sont la démonstration.
Stéphane Hessel : la résistance vous parle
Quelle retraite pour les photographes indépendants ?
Avec la financiarisation de la société (la contamination ultralibérale de la société par le modèle US, l’ ultralibéralisme : le système qui cherche à faire le maximum de profits tout en évitant de s’encombrer avec des histoires de salaires, de charges sociales, de code du travail, de droits sociaux, système qui se dévoile de manière ouverte avec le marché de l’image , marché de plus en plus "entre les mains" des amateurs, pour le plus grand profit des sociétés commerciales -presse et hors presse, corporate – . Production des amateurs = pas de contrat, pas de salaires, pas de droits d’auteur, pas le moindre centime de charge sociale :
Quelle retraite pour les photographes indépendants (les auteurs-photographes, photos utilisées en majorité sur les supports pub, l’édition, la presse d’entreprise, les périodiques des structures publiques, … ) ?
Comment peut-on obtenir une retraite décente -voire même une retraite tout court- avec les utilisateurs de photographies (privé et structures publiques et para publiques ) qui piétinent allègrement le Code de la propriété intellectuelle et préfèrent utiliser des photos gratuites d’amateurs et les photos "libre de droits" à 0,75 cents d’euro la photo des sociétés qui sont sur le modèle ultralibéral (Fauxtholia*, Histockphoto*, etc …) ?
Comment peut-on obtenir une retraite décente avec des structures touristiques et autres qui font des concours "ramasse-photo" pour décorer leurs brochures (et autres supports) gratuitement avec les visuels des amateurs ? (et qui bouche les trous avec les inévitables visuels au kilo des microstocks libre de droits et les photos DR).
Comment peut-on obtenir une retraite décente avec la presse locale et nationale qui pratique de manière intensive le crowdsourcing ? Crowdsourcing qui se dévoile avec les formules : "Envoyez vos photos!", "Déposez vos photos!", système permettant de se créer du contenu gratuit pour les sites web de leurs sociétés avec la production des amateurs, sociétés qui sont des structures commerciales (Vente d’espaces publicitaires). Et presse, qui de plus, n’hésite pas à utiliser les visuels "libre de droits" à O,14 cents d’euros des microstocks, tout en faisant la morale, via des papiers sur le travail au noir et en se prévalant de valeurs humanistes via des éditoriaux !
Suite sur les rubriques "Piou Piou" et "Coin Coin"
Quelle retraite pour les photojournalistes (photos utilisées essentiellement sur des supports presse avec n° de commission paritaire) ?
Mail reçu dans la boîte de Grenouille niouzes le 7 août 2010 :
Bonjour,
je me permets de vous adresser ce courriel. Celui-ci, le dernier adressé aux 577 députés de l’Assemblée Nationale, fait partie d’une vingtaine qu’ils recoivent depuis le 1° novembre 2009. Les photojournalistes sont victimes, non de l’évolution technologique (argument simpliste qui semble résumer le débat au niveau de la disparition du maréchal-ferrant), mais du comportement commercial d’une institution publique (AFP et sa collaboration avec l’américain Getty) qui méprise la valeur du travail, du travail des photojournalistes indépendants et des structures privées de diffusion du travail des photojournalistes. Ce n’est pas le travail des photographes de l’Agence france Presse qui est à critiqué, c’est l’action commerciale de cette structure qui lamine les prix dans notre secteur. Les journaux ne veulent plus payer une photo. Ils payent aujourd’hui pour des abonnements, un peu comme dans la grande distribution. Le mot -marge- ayant remplacé le mot -pluralité-, pluralité dans l’information. Nous n’avons rien à brûler, rien à bloquer.
"Mesdames et messieurs les députés,
oui nous sommes les "cocus" de la photographie. Il manque l’accent provençal.
Nous avons cru en la possibilité d’une réflexion, d’une expression, d’une diffusion de l’information par le photojournalisme. Beaucoup d’entre nous, photo-reporters indépendants ont pendant des années vécus de la photographie par le photojournalisme. Chacun d’entre nous vivait décemment de son travail, pouvait investir dans de nouvelles histoires en France ou au bout du monde. Nous pouvions nourrir nos familles, faire des projets, croire en notre métier et en son avenir. Nous sommes, chacun d’entre nous, Aimable Castanier , l’excellent boulanger de Pagnol.
Je regarde mon relevé mensuel de droits d’auteur reçu hier (285€ pour un mois, 25 ans de métier…) et je vois des prix pratiqués sur le marché du photojournalisme qui n’ont plus de sens. Une photographie utilisée en quart de page dans un quotidien d’information pour les jeunes de 7 à 17 ans me rapporte 15 €, des images sur internet de grands magazines papiers (hebdomadaires) à 0,75€, les gratuits (les trois grands du secteur) sur le net à 1,57€, en version papier à 24,63€, etc…D’où le développement de nombreux supports qui illustrent leurs pages avec un coût minimum sur la photographie.
L’édition , il y a quelques années, était un "mauvais" payeur" en rémunérant les photographies autour de 100€ le document.
Une nouvelle fois je viens vous le rappeler, les photojournalistes indépendants ont été trahis. Non par la photographie, non par le photojournalisme, mais trahis par une machine de guerre infernale sous contrôle de l’état qu’est l’Agence France Presse et ses pratiques tarifaires mis en place sous le falacieux prétexte de sa guerre contre ses deux concurrents anglo-saxons à l’arrivée de la révolution numérique (Reuters et AP). L’ensemble du secteur privé, pour survivre, s’aligne sur des prix qui ne correspondent en rien en une réalité économique viable. Les photojournalistes indépendants sont piégés. Nous rentrons dans le système de survie des agences qui sont obligées de pratiquer des formules par abonnement. Mais les agences ont des créneaux d’apport d’argent pour compenser en partie ces tarifs réduits (people, archives anciennes, culture, etc…). Nous indépendants nous n’avons aucune possibilité de négocier d’autres tarifs. Nous sommes dans les flux de ceux qui nous diffusent. Nous ne pourrions pas plus diffuser en indépendant notre travail, car nous serions dans l’obligation de nous rapprocher de tarifs qui sont une insulte à notre travail.
C’est l’information, notre information, par la photographie, la pluralité qui est baffouée, humiliée et méprisée.
Elle nous a fait les yeux doux durant de nombreuses années. Nous lui avons tout donné. La photographie, celle du photojournalisme, s’est laissée séduire par un monstre sans tête qui vous appartient femmes et hommes de l’Etat. Un monstre qui nous piétine dans l’indifférence générale : Agence France Presse / Getty/ Flickr et autre Citizenside.
Savez-vous, mesdames et messieurs les députés, que l’AFP peut rémunérer moins de 100€ un photographe (je n’ai pas mentionné que ce dernier soit un professionnel : investigation, vérification, validation) pour une demi-journée dans le cadre d’une collaboration ? Ce photographe, si il est amateur, est flatté de toucher un pécule d’une agence "prestigieuse" dont il ne connait pas les pratiques commerciales anormales et amorales. Je n’évoque pas un quelconque statut social avec les charges et le reste. C’est une forme de développement social d’un sous prolétariat photographique. Pas de contrat, pas de charges, rien et l’idée de récupérer à peu de frais des photographies vendues à bas coûts, voir gratuites via les Flickr ou autre Citizenside. Voilà une façon de ratisser large pour cette entité qui vous appartient et de laisser les photojournalistes indépendants disparaitre du paysage de l’information.
Si vous devez agir, c’est dès la rentrée. Organiser une table ronde, avec le ministre de la Culture et de l’Information, qui permette à toutes les parties de s’exprimer. Il faut que le photojournaliste indépendant soit la base humaine, sociale et professionnelle de cette volonté de remettre à plat un système économique sans moralité.
Je viens de déménager pour rejoindre Paris après deux années et demie à Marseille. L’entreprise française, des déménageurs ukrainiens… Ne vous étonnez pas demain, mesdames et messieurs les députés si les photographes que vous rencontrerez vous disent: spacibo (merci en russe).
Le Corbusier avait mis l’homme au centre de ses projets. L’homme devrait être au centre de tous les projets.
"Survivre avant de mourir".
Suite sur :
http://passionplus.free.fr/page43/page43.html
http://passionplus.free.fr/page4/page39/page52/page52.html
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Travailler beaucoup plus pour gagner nettement moins !
Pas de retraite pour les précaires, y a-t-il une vie avant la mort ?
… réalité banale, que le gouvernement et les entreprises désirent généraliser, et que les centrales syndicales dénient dans leurs propositions, ne faisant même pas le lien avec …
* orthographe modifié.
Photos : manifestation à laval mardi 19 octobre, retraite, …
Photos (c) Joe).
Manifestation à Laval (en Mayenne), mardi 19 octobre 2010, contre la casse des acquis sociaux : réforme des retraites, etc … Départ du carrefour du château d’eau, rue du général de Gaulle, place du jet d’eau, rue du vieux st Louis, pont de l’Europe, quai Beatrix de Gasvre, rue de la paix et préfecture.
La photo "Le Théâtre" est un photo-montage (ajout de "2010 année des manifs" et visuels de manifs dans les fenêtres).
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Laval, rue du Général De Gaulle, mardi19 octobre, entre 11h et midi.
Mardi 19 octobre :
Maxime Gremetz , à la séance des questions à l’Assemblée Nationale, a fait référence au groupe Malakoff-Médéric (voir post plus bas : Réforme des retraites : porte ouverte au marché de la retraite privée).
Mercredi 20 octobre au Sénat :
Les sénateurs de l’opposition ont fait allusion au rôle du frère du président, délégué général du groupe de retraite complémentaire Malakoff-Médéric. Article sur Temps réel nouvel obs.
Jeudi 21 octobre :
l’intersyndicale CGT-CFDT-CFTC-CFE/CGC-UNSA-FSU au terme d’une longue réunion, jeudi 21 octobre, a appelé à deux nouvelles journées de mobilisation, le jeudi 28 octobre (semaine du vote définitif de la réforme par l’Assemblée nationale), et le samedi 6 novembre.
25 octobre : un post de Jean Luc Mélenchon sur la retraitre par capitalisation : "…Le titre V du projet de réforme est en effet entièrement consacré à « l’épargne retraite », euphémisme français pour désigner la retraite par capitalisation…".
Retraite : manif du samedi 16 octobre à Laval
Laval, photos de la manifestation contre la réforme des retraites, samedi 16 octobre 2010. Départ de la place de Hercé en fin de matinée, avec arrivée au centre ville sur la place du Jet d’eau. (c) Joe.
Une photo en plus grand format.
[FLOWPLAYER=http://grenouillenews.free.fr/DSC_0048.flv,608,336]
L’intersyndicale a décidé une nouvelle journée de mobilisation mardi 19 octobre, à la veille du vote au Sénat.
Prochaine manif à Laval : mardi 19 octobre, rassemblement à ?