Stop au système Microstock de casse des Droits des Auteurs !

Joe Tof

Monsieur DR en examen au Sénat

 

Un communiqué de l’UPP sur les photos non signées (Photo : DR)  :

 

Paris, le 28 octobre 2010.

Oeuvres orphelines & lutte contre le DR : une première étape est franchie ! Pour la première fois depuis longtemps, les photographes professionnels sont au coeur du débat au sein du Parlement. Ce matin, le Sénat a adopté à l’unanimité une proposition de loi portant sur les oeuvres orphelines.
Pendant deux heures, l’ensemble des groupes parlementaires a reconnu la nécessité d’apporter une réponse législative à la problématique des « droits réservés ». Vous pouvez lire les débats sur le site internet du Sénat :

http://www.senat.fr/cra/s20101028/s20101028_5.html – par_203

L’UPP a constaté avec satisfaction et soulagement la sensibilisation nouvelle des élus à la crise que traversent les photographes professionnels, qui ne se limite pas à la seule problématique des oeuvres orphelines. En effet, plusieurs Sénateurs ont dénoncé l’usage professionnel de photos dites « libres de droit », illicites au regard de la loi.
La proposition, qui offre une définition sécurisante des « oeuvres orphelines », marque un pas important pour les photographes professionnels.
Elle constitue une étape essentielle vers la mise en place d’un système de gestion collective obligatoire de ces oeuvres, solution proposée initialement par Marie-Christine Blandin, que l’UPP tient à remercier chaleureusement pour son engagement.
Les débats se poursuivront les mois prochains devant l’Assemblée Nationale. Frédéric Mitterrand a tenu à rappeler son « total engagement à poursuivre le processus législatif qui vient d’être lancé ».
C’est pourquoi l’UPP prend acte de son soutien et en attend la mise en place d’un système de gestion collective obligatoire, seul système efficace pour résoudre la problématique des oeuvres orphelines.

http://www.upp-auteurs.fr

Communiqué de presse de MC Blandin, Sénatrice :
La spoliation des photographes va devoir s’arrêter !
 

Communauté anti-DR sur facebook

 

 

Financiariser les retraites en pleine crise financière !

 

 

Manif à Laval, 28 octobre (Retraites, …).

 

 

Un post de Frédéric Lordon sur son blog "La pompe à phynance" : Le point de fusion des retraites.

Extraits :

 

… la collision des retraites et de la finance ne s’arrête pas là et envoie de la tôle froissée dans à peu près toutes les directions. Il y a d’abord que la réforme apparente cache (mais si mal) une réforme furtive, et que la réforme véritable ne s’en tient nullement à la réforme plaidée. On admirera donc l’habileté de la manœuvre qui donne pour une défense et illustration de la retraite par répartition une entreprise de promotion particulièrement insidieuse de la retraite par capitalisation. Quelques décennies d’apprentissage ont enseigné aux libéraux la contre-productivité de la « prise de front ». Désormais bien établie, la stratégie de la paupérisation préalable et délibérée des services publics (lato sensu) se montre autrement plus efficace puisqu’il n’est en effet pas de plus sûr moyen de jeter les usagers dans les bras des opérateurs privés que d’avoir auparavant méthodiquement dégradé les prestations des opérateurs publics. Après le service de l’emploi, le transport ferroviaire, la poste, bientôt l’éducation et puis la santé, la retraite n’échappe pas à cette unité de vue stratégique …

Mais il y a pire que la perspective de la déconfiture annoncée de la (future) retraite capitalisée. Car la captation par les marchés des retraites n’a pas seulement pour conséquence leur fragilisation financière mais, bien plus profondément, un effet structurel de verrouillage définitif de la libéralisation financière. Par les masses d’épargne qu’elle concerne, la retraite capitalisée pousse l’implication financière du salariat à son comble et, par là même, lie objectivement les intérêts des salariés aux bonnes fortunes de la finance… laquelle prospère précisément de les opprimer… Texte intégral.

 

 

Une nouvelle société d’assurance spécialisée dans la retraite par capitalisation …

Vous rêviez d’un autre monde …

 

 

 

 

 

Alors même qu’elle n’a pas encore épuisé ses développements propres, la crise financière s’est déjà dépassée elle-même. Elle s’est dépassée économiquement en une récession meurtrière. Elle s’est dépassée politiquement car le dérèglement financier finit par apparaître pour ce qu’il est vraiment : le symptôme d’un dérèglement d’une tout autre nature et d’une tout autre échelle. C’est un modèle d’ensemble qu’une sorte de " catalyse par les points extrêmes " rend d’un coup visible, et surtout odieux. Comment la société a-t-elle pu tolérer si longtemps de tels niveaux d’inégalités ? Pourquoi a-t-il fallu atteindre le point d’obscénité de l’enrichissement de la finance pour produire enfin une mise en question ? Quelles forces ont oeuvré si longtemps à installer et défendre pareille configuration du capitalisme ? Et aussi, maintenant, quelles sont les voies de sortie, à quelles transformations radicales faut-il procéder ? Le livre fait des propositions. De la refonte totale des structures bancaires en un " système socialisé du crédit " jusqu’au desserrement des deux contraintes qui écrasent le salariat – celle de la rentabilité actionnariale et celle de la concurrence internationale sans rivage -, il s’agit de saisir l’opportunité historique d’une nouvelle donne ", seule à même de dénouer une crise sociale extrême.

 

Frédéric Lordon est directeur de recherche au CNRS ; ses travaux portent sur le capitalisme financiarisé. Il développe également un programme de recherche spinoziste en sciences sociales. Derniers ouvrages publiés : Capitalisme, désir et servitude,  La Fabrique éditions, sept 2010.  Et…Fermer la bourse ? La Découverte, oct 2020. Conflits et pouvoirs dans les institutions du capitalisme (dir), Presses de Sciences Po, 2008.  Jusqu’à quand ? Pour en finir avec les crises financières, Raisons d’agir, 2008.

 

 

 

Retraites, prochaine manif à Laval, samedi 6 novembre

 

 

Prochaine manif à Laval pour l’abrogation de la loi portant réforme des retraites : samedi 6 novembre, rassemblement à 10H30, place du 11 novembre (source)**.

 

 

Pas de retraite pour les précaires, y a-t-il une vie avant la mort ?
… réalité banale, que le gouvernement et les entreprises désirent généraliser, et que les centrales syndicales dénient dans leurs propositions, ne faisant même pas le lien avec …

 

 Des voitures de fonction et des aparts à 150 euros par mois pour les précaires !

 

 

 

Les nouveaux fonds de pension, la face cachée de la réforme des retraites*
…cette « épargne retraite », présentée comme un simple placement, fonctionne bel et bien selon le principe des « fonds de pension » et de ce fait, rogne sur le système par répartition …
… la proposition de la FFSA de verser l’assurance vie sur l’épargne retraite ou celui consistant à pouvoir retirer de l’argent de son Perco pour acheter ou rénover un logement transformeraient, à terme, ces outils de prévoyance en simples produits bancaires spéculatifs …


Le texte de la loi portant réforme des retraites

 

 

 

* article (repris par le site marianne2.fr), décoré avec des photos gratuites provenant de flicker (système qui envoit les pros de la photo à la précarité).

 ** les photos des manifs du site de FO sont sur flicker,  c’est à dire sur une plateforme US avec le modèle social qui va avec ! idem de grands partis politiques, etc …
flicker (propriété de la mutinationale us Yahoo) fonctionne en partenariat avec la multinationale de l’image Ghetti (qui possède le microstock histockphoto), elle même propriété du fonds de capital-investissement (private equity fund) Hellman & Friedman, le genre de structure qui ne fait pas vraiment dans la "répartition sociale" ! C’est toute cette crême financière, avec d’autres pratiques,  qui coule les pros de la photo !  (Sur les rapports Ghetti/flickrr/AFP voir http://passionplus.free.fr/page43/page43.html et autres pages).

Bravo !

Vous comprendrez que des gens ne votent plus !

 

 

 

Photos : manifestation à Laval, jeudi 28 octobre (Retraites).

Photos de la manifestation pour l’abrogation de la loi portant réforme des retraites. Laval, jeudi 28 octobre. Photos (c) Joe).

 

1 photo en plus grand format

 

Slogans des manifs en France :

Emploi pour tous, retraite pour tous!

C’est pas les retraités Qui nous coûtent cher, Ce sont les banquiers Et les actionnaires !

Emplois, salaires, nous ne paierons pas leur crise !

Au nom du profit, vous sapez les systèmes solidaires mis en place à la Libération : CASSEURS !

Un pouvoir brutal, indigne !

Avis de recherche, où est la République !

Le peuple de France ne sera jamais un peuple soumis !

Débranchons nos télés, la vérité n’est pas au 20 H !

Capitalisation = piège à cons !

Travailler plus pour qu’ils s’enrichissent plus !

Les richesses de notre travail : pour les retraites, les salaires, les emplois, la protection sociale, pas pour les profits!

Agence de notation financière
Réforme des retraites : AAA
Grève générale : Aie… Aie… Aie … !!!

Mai 68 pour mes 60 ans !

2% de la population accaparent 50% des richesses,
tandis que 50% de l’humanité n’en possèdent que 1% !
Pourquoi vouloir travailler plus pour ce système ?

 

 

 

 Sur le blog Big browser une reprise d’un article du Guardian :

L’âge de départ à la retraite a été déplacé pour la dernière fois en 1983. Depuis, le PIB par habitant a augmenté de 45 %. L’augmentation de la durée de vie est très limitée en comparaison … L’augmentation du revenu national a été largement suffisante pour compenser les changements démographiques.  Mark Weisbrot, guardian.co.uk

 

By taking to the streets to defend their pension rights from regressive cuts, the French are fighting for all our benefits

 

 

 

 

 

Quelle retraite pour les photographes indépendants ?

 

Avec la financiarisation de la société (la contamination ultralibérale de la société par le  modèle US, l’ ultralibéralisme : le système qui cherche à faire le maximum de profits tout en évitant de s’encombrer avec des histoires de salaires, de charges sociales, de code du travail, de droits sociaux, système qui se dévoile de manière ouverte avec le marché de l’image , marché  de plus en plus "entre les mains" des amateurs, pour le plus grand profit des sociétés commerciales -presse et hors presse, corporate – . Production des amateurs = pas de contrat, pas de salaires, pas de droits d’auteur, pas le moindre centime de charge sociale :

Quelle retraite pour les photographes indépendants (les auteurs-photographes, photos utilisées en majorité sur les supports pub, l’édition,  la presse d’entreprise, les périodiques des structures publiques, … ) ?

Comment peut-on obtenir une retraite décente -voire même une retraite tout court- avec les utilisateurs de photographies (privé et structures publiques et para publiques ) qui piétinent allègrement le Code de la propriété intellectuelle et préfèrent utiliser des photos gratuites d’amateurs et  les photos "libre de droits" à 0,75 cents d’euro la photo des sociétés qui sont sur le  modèle ultralibéral (Fauxtholia*,  Histockphoto*, etc …) ?

Comment peut-on obtenir une retraite décente avec des  structures touristiques et autres qui font des concours "ramasse-photo" pour décorer leurs brochures (et autres supports) gratuitement avec les visuels des amateurs ? (et qui bouche les trous avec les inévitables visuels au kilo des microstocks libre de droits et les photos DR).

Comment peut-on obtenir une retraite décente avec la presse locale et nationale qui pratique de manière intensive le crowdsourcing ? Crowdsourcing qui se dévoile avec les formules :  "Envoyez vos photos!", "Déposez vos photos!",   système permettant  de se créer du contenu gratuit pour les sites web de leurs sociétés avec la production des amateurs, sociétés qui sont des structures commerciales (Vente d’espaces publicitaires). Et presse, qui de plus, n’hésite pas à utiliser les visuels "libre de droits" à O,14 cents d’euros des microstocks, tout en faisant la morale, via des papiers sur le travail au noir et en se prévalant  de valeurs humanistes via des éditoriaux  !

Suite sur les rubriques "Piou Piou" et "Coin Coin"

 

Quelle retraite pour les photojournalistes (photos utilisées essentiellement sur des supports presse avec n° de commission paritaire) ?

 Mail reçu dans la boîte de Grenouille niouzes le 7 août 2010 :
 
Bonjour,
 
je me permets de vous adresser ce courriel. Celui-ci, le dernier adressé aux 577 députés de l’Assemblée Nationale, fait partie d’une vingtaine qu’ils recoivent depuis le 1° novembre 2009. Les photojournalistes sont victimes, non de l’évolution technologique (argument simpliste qui semble résumer le débat au niveau de la disparition du maréchal-ferrant), mais du comportement commercial d’une institution publique (AFP et sa collaboration avec l’américain Getty) qui méprise la valeur du travail, du travail des photojournalistes indépendants et des structures privées de diffusion du travail des photojournalistes. Ce n’est pas le travail des photographes de l’Agence france Presse qui est à critiqué, c’est l’action commerciale de cette structure qui lamine les prix dans notre secteur. Les journaux ne veulent plus payer une photo. Ils payent aujourd’hui pour des abonnements, un peu comme dans la grande distribution. Le mot -marge- ayant remplacé le mot -pluralité-, pluralité dans l’information. Nous n’avons rien à brûler, rien à bloquer.
 
 
"Mesdames et messieurs les députés,
 
oui nous sommes les "cocus" de la photographie. Il manque l’accent provençal.
 
Nous avons cru en la possibilité d’une réflexion, d’une expression, d’une diffusion de l’information par le photojournalisme. Beaucoup d’entre nous, photo-reporters indépendants ont pendant des années vécus de la photographie par le photojournalisme. Chacun d’entre nous vivait décemment de son travail, pouvait investir dans de nouvelles histoires en France ou au bout du monde. Nous pouvions nourrir nos familles, faire des projets, croire en notre métier et en son avenir. Nous sommes, chacun d’entre nous, Aimable Castanier , l’excellent boulanger de Pagnol.
 
Je regarde mon relevé mensuel de droits d’auteur reçu hier (285€ pour un mois, 25 ans de métier…) et je vois des prix pratiqués sur le marché du photojournalisme qui n’ont plus de sens. Une photographie utilisée en quart de page dans un quotidien d’information pour les jeunes de 7 à 17 ans me rapporte 15 €, des images sur internet de grands magazines papiers (hebdomadaires) à 0,75€, les gratuits (les trois grands du secteur) sur le net à 1,57€, en version papier à 24,63€, etc…D’où le développement de nombreux supports qui illustrent leurs pages avec un coût minimum sur la photographie.
 
L’édition , il y a quelques années, était un "mauvais" payeur" en rémunérant les photographies autour de 100€ le document.
 
Une nouvelle fois je viens vous le rappeler, les photojournalistes indépendants ont été trahis. Non par la photographie, non par le photojournalisme, mais trahis par une machine de guerre infernale sous contrôle de l’état qu’est l’Agence France Presse et ses pratiques tarifaires mis en place sous le falacieux prétexte de sa guerre contre ses deux concurrents anglo-saxons  à l’arrivée de la révolution numérique (Reuters et AP). L’ensemble du secteur privé, pour survivre, s’aligne sur des prix qui ne correspondent en rien en une réalité économique viable. Les photojournalistes indépendants sont piégés. Nous rentrons dans le système de survie des agences qui sont obligées de pratiquer des formules par abonnement. Mais les agences ont des créneaux d’apport d’argent pour compenser en partie ces tarifs réduits (people, archives anciennes, culture, etc…). Nous indépendants nous n’avons aucune possibilité de négocier d’autres tarifs. Nous sommes dans les flux de ceux qui nous diffusent. Nous ne pourrions pas plus diffuser en indépendant notre travail, car nous serions dans l’obligation de nous rapprocher de tarifs qui sont une insulte à notre travail.
 
C’est l’information, notre information, par la photographie, la pluralité qui est baffouée, humiliée et méprisée.
 
Elle nous a fait les yeux doux durant de nombreuses années. Nous lui avons tout donné.  La photographie, celle du photojournalisme, s’est laissée séduire par un monstre sans tête qui vous appartient femmes et hommes de l’Etat. Un monstre qui nous piétine dans l’indifférence générale : Agence France Presse / Getty/ Flickr et autre Citizenside.
 
Savez-vous, mesdames et messieurs les députés, que l’AFP peut rémunérer moins de 100€ un photographe (je n’ai pas mentionné que ce dernier soit un professionnel : investigation, vérification, validation) pour une demi-journée dans le cadre d’une collaboration ? Ce photographe, si il est amateur, est flatté de toucher un pécule d’une agence "prestigieuse" dont il ne connait pas les pratiques commerciales anormales et amorales. Je n’évoque pas un quelconque statut social avec les charges et le reste. C’est une forme de développement social d’un sous prolétariat photographique. Pas de contrat, pas de charges, rien et l’idée de récupérer à peu de frais des photographies vendues à bas coûts, voir gratuites via les Flickr ou autre Citizenside. Voilà une façon de ratisser large pour cette entité qui vous appartient et de laisser les photojournalistes indépendants disparaitre du paysage de l’information.
 
Si vous devez agir, c’est dès la rentrée. Organiser une table ronde, avec le ministre de la Culture et de l’Information, qui permette à toutes les parties de s’exprimer. Il faut que le photojournaliste indépendant soit la base humaine, sociale et professionnelle de cette volonté de remettre à plat un système économique sans moralité.
 
Je viens de déménager pour rejoindre Paris après deux années et demie à Marseille. L’entreprise française, des déménageurs ukrainiens… Ne vous étonnez pas demain, mesdames et messieurs les députés si les photographes que vous rencontrerez vous disent: spacibo (merci en russe).
 
Le Corbusier avait mis l’homme au centre de ses projets. L’homme devrait être au centre de tous les projets.
 
"Survivre avant de mourir".

Suite sur :

http://passionplus.free.fr/page43/page43.html

http://passionplus.free.fr/page4/page39/page52/page52.html

 

 

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Travailler beaucoup plus pour gagner nettement moins !

Pas de retraite pour les précaires, y a-t-il une vie avant la mort ?
… réalité banale, que le gouvernement et les entreprises désirent généraliser, et que les centrales syndicales dénient dans leurs propositions, ne faisant même pas le lien avec …

 

 

* orthographe modifié.

 

Retraites, nouvelle manif à Laval : jeudi 28 octobre.

 

 

 

 

Laval, rue Général de Gaulle, mardi 19 octobre. (C) Joe. Les personnes qui ne souhaitent pas que leurs visages soit reconnaissables sur les photos des manifs  (pour x raison),  un mail à : grenouillenews AROBASE free.fr et je floute le visage.

 

Les syndicats ont appelé, jeudi 21 octobre à de nouvelles manifestations, jeudi 28 octobre et samedi 6 novembre.

A Laval, rendez-vous le jeudi 28 octobre à  10h30, place de Hercé (jardin de la Perrine, salle polyvalente).
 

Slogans des manifs en France, extrait :


Viré à 55, retraité à 67. Et je fais quoi en attendant ?
Voulez-vous des vieux croutons pour vos petits lardons ?
Regarde bien ta Rolex, c’est l’heure de la révolte !
Sarko, pour toi, la retraite c’est 2012
Travail, travail, travail …Et on vit quant ?
Ridés, fripés, mal payés !
La Rolex à 50, la retraite à 60
Bouclier fiscal pour les uns. Matraque sociale pour les autres!
Les vieux au boulot … Les jeunes au Pôle emploi ?
Banquiers aux mains pleines. Capitalisme financier. Précarité généralisé.
Travail Famille Pates Riz !
Plus belle la vie sans Sarkozy !
Respectez la limitation de vieillesse.
La retraite avant l’arthrite.
enseigner jusqu’à 67 ans, yes we canne.
itinéraire déconseillé, retraite à 67 ans.

 

Slogans en photos sur Slate.fr

Slogans en photos sur la Provence.fr

Photos des manifs à Paris France on strike

 

Sur le site news.suite101.fr :

… Ils sont de plus en plus nombreux, les jeunes, les sans-emplois, les travailleurs pauvres et/ou à temps partiel subi, les personnes âgées, à être nettement au-dessous du seuil de pauvreté. Ce qui commence à faire beaucoup de monde en France, prêt à la révolte pour simplement sortir la tête de l’eau… Texte intégral (en bas de la page).
Bonus : Quelle retraite pour les précaires de l’économie ?

 

 

Sur le Monde diplomatique (juin 2010) :

Le gouvernement français, fidèle servant de la rente, via notamment le bouclier fiscal, accélère la réforme des retraites par souci de ne pas effaroucher les marchés. « Le chef de l’Etat entend montrer à ses partenaires européens et aux marchés financiers qu’il s’attaque au problème de la dette. Tant pis si les retraites ne constituent qu’un aspect partiel du problème : il faut donner un signal et ne surtout pas perdre la note AAA dont bénéficie encore la France sur les marchés », écrivent Les Echos (1). Le signal en question ? La volonté de faire travailler plus longtemps, sous prétexte d’allongement de l’espérance de vie (2)… Article intégral.

 

Prochaine tuile :

Dépendance: une brèche dans la Sécu

L’UMP envisage d’offrir le magot de la "dépendance" aux assureurs !
 

 

 

 

 

Partenariat entre un microstock photo à tarifs cassés et un ministère

 

L’UPP (Union des Photographes Professionnels, organisation d’auteurs-photographes et de photojournalistes) dénonce un partenariat entre le microstock Fotolia (Diffusion de photographies, de graphismes et de vidéos, à prix cassés, et sur le mode du "libre de droits" *) et le ministère de l’ économie, partenariat via le programme "Passeport pour l’économie numérique".

 

Communiqué de l’UPP :

Paris, le 20 octobre 2010. L’UPP dit « NON » au partenariat conclu entre le Ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi et Fotolia ! Dans le cadre de la mise en place du passeport pour l’économie numérique, le Ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi a conclu un partenariat avec Fotolia.

En développant une offre de photos dites « libres de droits » pour quelques centimes d’euros dans un secteur en difficulté, Fotolia a contribué à la baisse dramatique des prix dans le secteur de la photographie. Alors qu’au Ministère de la Culture et de la Communication des discussions sont en cours pour trouver des solutions à la crise que traverse notre profession, ce partenariat ne peut être compris par l’ensemble des photographes professionnels. Première organisation professionnelle de photographes, l’UPP adresse ce jour un courrier au Ministère concerné afin de dénoncer ce partenariat inacceptable.

 

 

Site de l’UPP

* Microstock, libre de droits, tarifs cassés et légalité

 

Pendant que Députés et Sénateurs examinent la loi 441, que le Gouvernement consulte les organisations syndicales, le Ministère de l’Economie et des Finances propose aux PME et PMI le « passeport pour l’économie numérique » en leur disant de fait « travaillez avec FHOTHOLIA, c’est le meilleur et le moins cher »...SUITE

 

 

 

 

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