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Nos amis les écolos

 

Le fanatisme de l’Apocalypse.
Pascal Bruckner.
Grasset (octobre 2011).

 

Postace de l’auteur :

La planète est malade. L’homme est coupable de l’avoir dévastée. Il doit payer. Telle est la vulgate répandue aujourd’hui dans le monde occidental. Le souci de l’environnement est légitime : mais le catastrophisme nous transforme en enfants qu’on panique pour mieux les commander. Haine du progrès et de la science, culture de la peur, éloge de la frugalité : derrière les commissaires politiques du carbone, c’est peut-être un nouveau despotisme à la chlorophylle qui s’avance. Et rend plus urgent l’instauration d’une écologie démocratique et généreuse. Une course de vitesse est engagée entre les forces du désespoir et les puissances de l’audace.

 

Né en 1948 à Paris, Pascal Bruckner est l’auteur de plusieurs essais chez Grasset : La tentation de l’innocence (Prix Médicis 1995), L’Euphorie perpétuelle ou le devoir de bonheur (2000), Misère de la prospérité (Prix du Meilleur livre d’économie, Prix Aujourd’hui 2002), La tyrannie de la pénitence (2006), Le Paradoxe amoureux (2009). Collaborateur au Nouvel Observateur, il est également romancier.

 

 

Les Verts voudraient passer les menottes à la planète

Selon la vulgate verte, nous sommes déjà des criminels sans le savoir, puisque nous préparons un univers suffocant pour nos enfants. Comme dans Minority Report, on fait des générations actuelles les coupables d’un crime qu’elles risquent de commettre. Nous devons être punis pour des faits non encore advenus...

Les écologistes radicaux expliquant que la révolution industrielle est une monstrueuse aberration et qu’il faut choisir la décroissance se calquent sur le discours de la Genèse: l’homme est coupable d’avoir goûté au fruit de la connaissance, il a quitté l’Eden. Il doit régresser sous peine de châtiment suprême …

les Verts parlent aujourd’hui comme les marchés et les grands argentiers: il faut se serrer la ceinture, rentrer dans la rigueur en raison de la dette… Interview intégrale de l’auteur sur le site de l’Express.

 

 

Bonus gratuit :

Le sommum du programme politique des verts c’est l’augmentation des taxes sur les carburants (pour financer des projets mirifiques verts) , ils ne s’en vantent pas trop, pour faire des voix en période électorale c’est pas le must, tripler (si quelqu’un à le bon chiffre : grenouillenewsAROBASEfree.fr) les taxes sur les carburants : c’est enterrer sur place les gens qui résident en permanence à la campagne et qui vivotent sur des micros revenus, les taxes existantes et le prix des carburants relèvent de l’insupportable, on en est "réduit à réduire" de manière importante nos déplacements à des fins de "vie vitale" , quant aux smicards qui ont 30 bornes à faire, matin et soir pour le taf, ils ne voteront pas "vert",  du moins s’ils ont accès à cet info.

L’écologie comme science : çà m’intéresse, l’écologie comme religion politique : ben non merci !

 

Super Bonus :

Le WWF (Fonds Mondial pour la nature) : c’est qui ? C’est quoi ?

 

 

 

 

Crise, austérité rigueur …

 

Asservir le peuple, pour satisfaire le noyau dur, le groupuscule de la finance internationale, abonné à l’ultra-libéralisme, celui de la casse de toutes les avancées sociales de l’après guerre.

 

 

…la situation ne cesse de se dégrader, non par la grâce d’une quelconque loi économique implacable et indépassable, mais uniquement par la volonté des instances décisionnelles réelles mondiales…

Chaque Crise n’est jamais que l’accélération brutale et préméditée d’un processus entamé depuis quelques décennies, un processus volontaire et conscient qui consiste à refermer la parenthèse maudite des droits des peuples nés du traumatisme de l’après-guerre…

l’humanité n’a jamais été aussi riche qu’en ce moment. Ce qui signifie, concrètement, qu’il n’y a aucune crise économique en cours. Ce qui signifie, concrètement, que toute politique visant à réduire encore un peu plus les moyens de subsistance d’une partie de plus en plus importante de la population mondiale est une politique délibérée de paupérisation à grande échelle, une politique de création artificielle d’inégalités insupportables, une politique de confiscation des ressources du plus grand nombre pour le profit de quelques-uns… Blog le Monolecte.

 

 

 

Le chômage va augmenter. Il y aura une forte pression pour que les salaires baissent. On va supprimer le bouclier social et l’État providence, en oubliant qu’ils avaient été mis en place à partir du XIXe siècle pour que les gens ne fassent pas la Révolution. C’était pour rendre le capitalisme tolérable. À agir ainsi, on risque d’aller vers des troubles sociaux, des révolutions, etc. Paul Jorion sur Le Télégramme.

 

 

 

 

Le wisky-coca surtaxé !

 

Sur le net  facebook, twitter, presse en ligne :

 

Le nombre de chômeurs en France s’accroit encore

Ils sont prêts à payer plus d’impôts, mais dirigent souvent les entreprises présentes dans les paradis fiscaux

Combien de temps encore allons-nous encore accepter que le monde soit dirigé par les spéculateurs et les financiers ?

Paradis fiscaux : refuges des flibustiers de la finance mondialisée.

Mutuelles, tabac et whisky-coca surtaxés … pas touche aux transactions financières, spéculation, paradis fiscaux… ouf ‘suis rassuré !

Réduire le déficit au lieu d’attaquer "les riches",  commençons par prendre aux voleurs 50 milliards dans les paradis fiscaux

 

Qu’est-ce qu’un paradis fiscal ?

 

La pièce démonte les processus en œuvre depuis l’automne 2007 pour transformer la crise de la dette immobilière privée en crise publique de l’endettement, remboursable par les citoyens.
http://vimeo.com/27809905

 

Frédéric Lordon
D’un retournement l’autre
Comédie sérieuse sur la crise financière
En quatre actes et en alexandrins

Seuil (mai 2011).

Présentation de l’éditeur

Le rideau s’ouvre : Messieurs les Banquiers, son Altesse le président de la République française, Monsieur le Premier ministre, Monsieur le Gouverneur de la Banque centrale et le petit peuple des conseillers de la Cour. La pièce peut commencer : lessivés par la crise des désormais célèbres « subpraïmes » (sic), les Banquiers s’apprêtent à sonner à la porte de l’État pour lui demander de mettre la main au porte-monnaie… avant que le résultat de leurs acrobaties ne fasse exploser les dettes publiques et conduise à la rigueur pour tous ? pour tous les autres qu’eux.

C’est une forme particulière, et inattendue, celle de l’alexandrin, qui est ici convoquée pour mettre en scène la crise de la finance mondiale. Peut-être en effet fallait-il l’ambivalence d’un vers qui convient à la tragédie aussi qu’à la comédie pour saisir et la déconfiture d’un système aux abois et l’acharnement bouffon de ses représentants à le maintenir envers et contre tout.

Mais ce que ces « élites » aveuglées par leur domination, et déjà disqualifiées par l’Histoire, ne voient plus c’est qu’un retournement peut en cacher un autre. Et celui des marchés annoncer celui du peuple.

Le texte de la pièce est suivi d’un post-scriptum : « Surréalisation de la crise ».

Économiste, Frédéric Lordon est notamment l’auteur de Jusqu’à quand ? Pour en finir avec les crises financières (Raison d’agir, 2008), La Crise de trop (Fayard, 2009), Capitalisme, désir et servitude (La Fabrique, 2010).

 

 

 

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