Stop au système Microstock de casse des Droits des Auteurs !

Tempomobile

” Et au moyen de notre Tempomobile … nous vous dévoilerons toutes choses futures. ” Alfred Jarry.

L’hôpital public entre les mains des assureurs et des financiers

 

La santé, l’hôpital public : un marché immensément juteux pour les compagnies d’assurances et autres sympathiques financiers ! Une super société qui se profile à l’horizon avec nos "amis des assurances" et leurs amis aux commandes qui leur donnent un bon coup de main … !

 

Un article d’André Grimaldi sur le Monde Diplomatique :

 

… ainsi pourra naître un nouveau système de santé, véritable coproduction franco-américaine ayant gardé du système français la CMU et le financement des cas les plus graves par la collectivité, et ayant pris au système américain la gestion par les assureurs privés du marché rentable de la santé : un cauchemar pour les médecins et pour les malades, un rêve pour les assureurs et les « nouveaux manageurs ».

 

 

Article intégral

Traitement de choc pour tuer l’hôpital public

Le Monde Diplomatique

 

 

 

L’hôpital malade de la rentabilité
André Grimaldi
Fayard (avril 2009).

L’hôpital va mal. Il va mal parce que la société va mal. Et notre société va mal parce que les valeurs collectives sont ébranlées par deux processus simultanés: la technicisation qui libère l’homme de la nature, mais peut le rendre esclave de la technique; la marchandisation qui transforme tout, y compris les rapports humains les plus essentiels, ceux qui engagent la vie et la mort, en un simple commerce. Enfant des CHU, André Grimaldi ne se résigne pas au renversement des valeurs actuelles qui font du médecin un producteur de soins, du malade un consommateur, de la médecine une affaire. Médecin salarié convaincu que l’application du "juste soin au juste coût" exigée par son éthique professionnelle s’accompagne mal des conflits d’intérêts, l’auteur critique les réformes mises en oeuvre qui visent à faire de la santé une marchandise comme les autres et de l’hôpital une entreprise : la tarification à l’activité dite "T2A" qui pousse les médecins à multiplier les actes rentables, le numerus clausus qui a conduit à la pénurie médicale actuelle et à l’importation de médecins étrangers, le développement de consortiums de cliniques privées commerciales, l’arrivée des assureurs privés sur le "marché de la santé". Quel monde allons-nous laisser à notre jeunesse? A partir de son expérience personnelle, le professeur Grimaldi nous livre de nombreux exemples de cette déshumanisation à l’œuvre dans le service public, très souvent des cas ubuesques qui défient le bon sens. Une autre voie est pourtant possible: un système basé sur la solidarité faisant coexister un service public et un secteur privé à but non lucratif.

André Grimaldi, chef de service à la Pitié-Salpêtrière, est connu pour son engagement contre la réforme actuelle de l’hôpital ; il est l’instigateur de l’appel du 18 juin 2008 pour sauver l’hôpital public (www.appel-sauver-hopital.fr). Diabétologue, il travaille sur les complications du diabète et sur l’éducation thérapeutique du patient.

 

 

 

Les fossoyeurs de la sécurité sociale

Les fossoyeurs
Christian Lehmann
Editions Privé (janvier 2007).
18 euros

Les Fossoyeurs, comme les Envahisseurs que traquait David Vincent dans la célèbre série américaine des années 60, viennent d’une autre planète, celle où le profit est roi. Ces extra-terrestres ont pris forme humaine pour mieux nous infiltrer et nous soumettre aux lois du marché, au nom du néolibéralisme, de ce système dans lequel il s’agit de courir toujours plus vite, quitte à laisser sur le bord du chemin les plus faibles .

Ne plus payer pour les vieux, les malades, les handicapés, tous ceux qui ralentissent la marche en avant vers des lendemains qui chantent pour l’actionnaire.

Christian Lehmann a vu les Fossoyeurs. Il les a suivi, a infiltré leurs lieux de pouvoir, décrypté leurs messages : ce sont eux qui nous expliquent que le déficit de la Sécurité Sociale est lié au laxisme généralisé de patients abuseurs et de médecins complices. Eux qui inlassablement désignent des fraudeurs et des parasites aux aides sociales, pour amener la population à désespérer du système solidaire. Eux qui cherchent à responsabiliser par l’argent les plus démunis. Le cauchemar a déjà commencé. Ce sont nos vies qui sont en jeu.

En quelques années à peine, ils ont profondément modifié le paysage sanitaire français, installant dans la population l’idée que la santé était un commerce comme un autre, que le système de Sécurité Sociale était obsolète et financièrement intenable. Ils ont appliqué, en ville, à l’hôpital, en dépit du bon sens, les dogmes de leur secte, laminant les expériences de sortie du paiement à l’acte, cautionnant et généralisant les dépassements tarifaires, introduisant à l’hôpital le tri des patients selon la rentabilité, modifiant le fonctionnement de la Sécu pour y appliquer des objectifs financiers masqués sous prétexte de maîtrise médicalisée.

 

 

 Le mythe du "trou de la Sécu"
Julien Duval
Liber – Raisons d’agir (avril 2007)
6 euros

A en croire les médias et les débats politiques, la Sécurité sociale serait menacée de faillite par un déficit abyssal. Pour faire face à l’augmentation des dépenses et au vieillissement de la population, notre système de protection sociale, créé en 1945 pour donner "la garantie à chaque homme qu’en toutes circonstances il pourra assurer sa subsistance et celle de personnes à sa charge", serait condamné à se "réformer" sans cesse: déremboursements, réduction des prestations, hausse des cotisations, voire privatisation.

Chercheur au CNRS, Julien Duval renverse les termes du problème: il n’y a pas de "déficit de la Sécu" mais "un besoin de financement" que les gouvernements successifs ont décidé de ne pas satisfaire en multipliant depuis 1993 les exonérations de charges sociales. En effet, l’affaiblissement de la protection sociale découle non pas d’arbitrages techniques mais d’un choix politique: le transfert généralisé des " risques" du capital vers le travail.

Extrait du livre de Julien Duval

 

"…Affirmer qu’il est impossible de boucher le trou de la "Sécu", mais qu’on doit boucher sans compter les milliards le trou des banques ?"
Alain Badiou, philosophe, page 19, Le Monde et son supplément Le Monde 2 du 18 oct 08).

 

 

 

 

Hippocrate malade de ses réformes
Frédéric Pierru
Editions du Croquant (2007).

 Le diagnostic officiel est pessimiste, le pronostic plus encore : le système de santé français connaîtrait une " crise profonde " ; il serait " en faillite " faute de pouvoir " réguler " l’" explosion " des dépenses de santé ; malgré un " trou de la Sécu abyssal ", il ne garantirait même pas un accès universel à des soins de qualité. Et les gouvernements, les experts et les journalistes de stigmatiser l’" exception française " pour mieux célébrer nos voisins européens qui, eux, auraient eu le courage d’engager des réformes certes difficiles mais nécessaires.

Un examen attentif de ces réformes montre, toutefois, qu’il n’existe pas d’exception française et que les systèmes de santé européens sont mis en crise dans le but de privatiser et de libéraliser le secteur, avec les encouragements de l’Union européenne et de l’OCDE. Le paradoxe veut que ce soit le cancre des pays développés – les États-Unis – qui inspire désormais les décideurs européens. Même si, en France, l’État resserre son emprise sur l’assurance maladie et se gargarise de la Couverture maladie universelle, notre pays n’est cependant pas à l’abri de la doxa néolibérale. L’étatisation pourrait être le levier de la mise en concurrence prochaine de l’assurance maladie et des hôpitaux. Des voix, notamment patronales, s’élèvent pour presser l’adoption de réformes en ce sens, dans un débat public monopolisé par une poignée d’experts. Le discours modernisateur oscille alors entre la pédagogie économique et la répétition ad nauseam de poncifs, comme les " abus ", sur le fondement de chiffres parfois fantaisistes, souvent contestables et toujours intéressés.

La critique sociale passe d’abord par un triple refus : celui de l’économisme ; celui de la reddition face au " bon sens " gestionnaire ; celui de la posture défensive qui, dénonçant le rationnement des soins, en vient à défendre les revenus des médecins et les profits de l’industrie pharmaceutique. Elle doit ensuite partir d’un constat radical : la santé est un enjeu politique avant d’être un problème économique ou médical. La question sanitaire rejoint alors la question sociale, redevenant un sujet de réflexion pour les sciences sociales et, au-delà, de délibération démocratique. La santé est le terrain privilégié d’interpellation des fondements économiques, sociaux et politiques du nouvel ordre économique.

Frédéric Pierru, docteur en science politique, est sociologue, chargé de recherche au CNRS, membre de l’IRISES (Paris IX Dauphine). Ses publications portent sur la réforme des systèmes de santé français et européens, le renouveau de la santé publique en France et les enjeux politiques de la gestion.

 

Comment se prépare la privatisation de la sécu

 

Hadopi scudé par le Conseil Constitutionnel

Le Conseil constitutionnel a censuré, ce mercredi 10 juin, la notion de “riposte graduée” contenue dans la loi Hadopi contre le téléchargement illégal. Le Conseil a retiré à la Haute Autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) le pouvoir de couper l’accès internet ... Suite sur Tempsreelnouvelobs

Extraits de la décision du Conseil Constitutionnel :

” … aux termes de l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 : ” La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ” ; qu’en l’état actuel des moyens de communication et eu égard au développement généralisé des services de communication au public en ligne ainsi qu’à l’importance prise par ces services pour la participation à la vie démocratique et l’expression des idées et des opinions, ce droit implique la liberté d’accéder à ces services …

… avec l’exercice du droit de libre communication et de la liberté de parler, écrire et imprimer ; que, toutefois, la liberté d’expression et de communication est d’autant plus précieuse que son exercice est une condition de la démocratie et l’une des garanties du respect des autres droits et libertés …

l’article 2 de la Déclaration de 1789… la liberté proclamée par cet article implique le respect de la vie privée

… Considérant que, selon les requérants, la loi déférée opère une conciliation manifestement
déséquilibrée entre la protection des droits d’auteur et le droit au respect de la vie privée ;
que l’objectif poursuivi par le législateur nécessiterait la mise en oeuvre de mesures de
surveillance des citoyens
et l’instauration d’un ” contrôle généralisé des communications
électroniques
incompatibles avec l’exigence constitutionnelle du droit au respect de la
vie privée

… toutefois, l’autorisation donnée à des personnes privées de collecter les données permettant indirectement d’identifier les titulaires de l’accès à des services de communication au public en ligne conduit à la mise en oeuvre, par ces personnes privées, d’un traitement de données à caractère personnel relatives à des infractions ; qu’une telle autorisation ne saurait, sans porter une atteinte disproportionnée au droit au respect de la vie privée, avoir d’autres finalités que de permettre aux titulaires du droit d’auteur et de droits voisins d’exercer les recours juridictionnels dont dispose toute personne physique ou morale s’agissant des infractions dont elle a été victime … ”

Texte intégral de la décision du Conseil Constitutionnel

Extraits du communiqué de presse du CC :

” …Le Conseil constitutionnel, gardien des droits et libertés constitutionnellement garantis, a jugé que plusieurs des dispositions de ces articles 5 et 11 n’étaient pas conformes à la Constitution :

- La liberté de communication et d’expression, énoncée à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, fait l’objet d’une constante jurisprudence protectrice par le Conseil constitutionnel (voir dernièrement décision n °2009-577 DC du 3 mars 2009). Cette liberté implique aujourd’hui, eu égard au développement généralisé d’internet et à son importance pour la participation à la vie démocratique et à l’expression des idées et des opinions, la liberté d’accéder à ces services de communication au public en ligne…

L’article 9 de la Déclaration de 1789 pose le principe de la présomption d’innocence … ”

Communiqué intégral

Par moments, trop rares dans cette période de populisme sécuritaire, on a encore l’impression d’ être dans une République ! Une bouffée d’oxygène démocratique ! On en redemande !

In memoriam hadopi

Le vote de la loi Hadopi au Sénat 13 mai 2009 (Pour, contre, abstentions)

Le vote de la loi Hadopi à L’Assemblée Nationale 12 mai 2009 (Pour, contre, abstentions)

Contrôler le net : en France comme en Chine

2009

Le populisme sécuritaire

” Petit à petit, les pièces du puzzle s’assemblent et l’image se révèle sous nos yeux. Le projet  de loi Création et Internet n’a pas encore été promulgué que déjà le morceau suivant s’apprête à faire son apparition. Projet de loi après projet de loi, décret après décret, nomination après nomination, Nicolas Sarkozy prépare méthodiquement les moyens pour le gouvernement de contrôler Internet… et les internautes…

… le nouveau texte commandé par Nicolas Sarkozy : installation de mouchards électroniques sans vérification de leur légalité par les services de l’Etat, légalisation des chevaux de Troie comme mode d’écoute à distance, création d’un super-fichier “Périclès” regroupant de nombreuses données personnelles … “

Article intégral sur Numerama.com

LOPPSI: la protection de l’enfance prétexte à la censure du Net

Loi Loppsi : “Ce gouvernement s’acharne”

La loi Loppsi est “un pied dans la porte vers une censure gouvernementale de l’Internet”

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2008

“…Il s’agit de contrôler par tous les moyens le seul média libre qui ne lui obéit pas…
…Sous couvert de concocter un plan de lutte contre la cybercriminalité, on touche finalement à un dispositif cybersécuritaire… »
Suite

“…Filtrage des contenus a priori, réquisition de données hors contrôle de l’autorité judiciaire, extension des obligations de la conservation des données de connexion, supression automatique de contenus, marquage des sites web… ce dispositif de surveillance généralisée et de contrôle de l’information est digne du régime chinois…”
Suite

“…En clair, lorsqu’un ayant droit fera une demande directe d’identification d’IP à un FAI sans passer par la voie judiciaire, le bon FAI devra apporter toutes ses connaissances pour satisfaire ces demandes d’informations « officielles ».
C’est une énième manifestation de la volonté de déconnecter le pouvoir judiciaire des contrôles de base sur les droits et liberté de chacun, en demandant aux FAI de ne pas respecter le Code de procédure civil ou pénal…”
Le gouvernement veut un filtrage de masse des réseaux

La liberté du Web (de nouveau) menacée?

“Le gouvernement a peur du buzz, parce qu’il ne le maîtrise pas”
Offensive anti-Web ?
http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=838

“… De nos jours, l’idée même – grâce à Internet – que les citoyens vont pouvoir, en toute liberté, croient-ils, échanger, répandre leurs idées et leurs réflexions à travers le monde est devenue proprement insupportable à de nombreux hommes politiques…”
SUITE

“…il y a deux façons de briser la liberté de conscience et la liberté de penser : la première consiste à supprimer politiquement la liberté par la violence, et bien sûr la menace terroriste fait partie de cette entreprise, mais la seconde consiste à détruire socialement et la conscience et l’acte même de penser, par une médiocrité sournoisement imposée…”
http://jeanbauberotlaicite.blogspirit.com/archive/2005/04/30/citoyennete_et_laicite.html

” Il nous est intolérable qu’une pensée erronée puisse exister quelque part dans le monde, quelque secrète et impuissante qu’elle puisse être”.Georges Orwell, “1984″, Folio. Nineteen eighty four, roman écrit en 1948.

Vote de la loi Création et internet (Hadopi)

 

Critiquer Hadopi : interdit à TF1

 

Sur liberation.fr : " …  Jérôme Bourreau-Guggenheim, respon­sable du pôle innovation web de TF1, a été, selon nos informations, licencié pour avoir critiqué le projet de loi Création et Internet (Hadopi). Allons bon. Mais il y a mieux : si Jérôme Bourreau a été viré par la Une, c’est suite à une dénonciation du… ministère de la Culture dont l’hôte, Christine Albanel, est l’artisan de la fameuse loi qui doit réprimer le téléchargement illégal …" Article intégral

Suite du feuilleton sur le blog Immédias

Pour la lettre de licenciement, écrire au ministre qui transmettra

Sur Numérama.com : Jérôme Bourreau-Guggenheim affirme  qu’il a été licencié uniquement sous la pression du cabinet de Christine Albanel… Article intégral " … Monsieur Kert, député UMP des Bouches-du-Rhône, se faisant le relais des revendications patronales a présenté un sous-amendement qui modifie le code du travail et le statut du journaliste. Autrement dit : au lieu d’être payés, comme c’est le cas aujourd’hui, à chaque publication d’un même article sur un nouveau support, les journalistes ne seront payés qu’une fois et tous les titres de presse du groupe pour lequel ils travaillent pourront réutiliser à leur guise leurs papiers… "  Suite : Hadopi contre le droit d’auteur des journalistes

 

 

Vote de la loi Hadopi

" … il ne fait aucun doute à nos yeux, que vous avez su conserver vos âmes d’enfants…, qui croient naïvement que le gouvernement met les artistes à l’abri du « capitalisme débridé  … "Suite : Hadopi : Lettre ouverte à quelques artistes qui

 

 

Mardi 12 mai : Loi création et internet adopté à l’Assemblée Nationale

Le vote des députés : les pour, les abstentions, les contre

Montebourg (PS) s’est abstenu ! I Mr Jack Lang a voté pour ! F Bayrou a voté contre. …

Sur le Monde.fr : Les députés adoptent la loi Hadopi

Les commentaires des anti-hadopi sur Numérama

Le fil Hadopi

La cuvée Hadopi du domaine de Bérénas : blanc ou rouge ?

 

 

 

Loi Hadopi et secret de la correspondance

Liberté fondamentale, celle du secret des correspondances : remise en cause par la loi Hadopi

sur pcinpact.com : " .. Hier en commission des lois, où l’ambiance fut, dit-on de multiples sources, très tendue, le projet Création et Internet a révélé une facette encore méconnue. Celle du filtrage des e-mails. Voire plus en raison du caractère extrêmement vaste des termes employés dans le texte que doivent voter les parlementaires. Une pièce de plus à rajouter à la liste des points noirs de ce fameux projet de loi… "

Article intégral : pcinpact.com

Surveillance de emails : le point de vue d’un expert-sécurité " …Le Canard nous révélait mercredi dernier que Nicolas Sarkozy était parfaitement conscient que sa loi Hadopi était nulle et qu’elle ne résoudrait aucun problème mais son objectif n’était pas là. Son but avoué est de créer une brèche entre les artistes,  de Gauche donc, et le PS … " http://lespiedsdedamocles.20minutes-blogs.fr/archive/2009/05/04/hadopi-de-peer-en-pire.html

 

 

Loi Création et internet (loi Hadopi) "Le temps des crises charrie le pire, mais anticipe aussi le monde qui vient. Le Parlement européen a jeté un utile pavé dans la mare, en affirmant «qu’aucune restriction à la liberté d’expression et d’information d’un citoyen ne doit être prise sans décision préalable de l’autorité judiciaire». C’est bien le moins dans un Etat de droit ! Confier à une police privée, puis à une autorité administrative (baptisée Hadopi) le contrôle des réseaux numériques pour préserver les intérêts des artistes est l’un des pires services à rendre au droit d’auteur…" Suite sur Libération.fr "

… je suis évidemment favorable à ce qu’il y ait un contrôle des réseaux pour des crimes d’une importance particulière comme la pédophilie, la pornographie, le terrorisme, etc. En revanche, je trouve inadmissible que le même contrôle puisse être effectué pour préserver des intérêts économiques, qui plus est par des milices privées à la solde de rentiers qui exploitent le travail des vrais artistes "Le flicage des réseaux ne doit pas servir les intérêts économiques…" Suite sur Lemonde.fr

Constitution Française: Dans le domaine des opinions, la liberté d’expression est garantie. La sûreté c’est encore le droit au respect de la vie privée et du domicile. http://www.conseil-constitutionnel.fr/dossier/quarante/q04.htm

La Quadrature du Net est un collectif de citoyens qui informe sur des projets législatifs menaçant les libertés individuelles, les droits fondamentaux et le développement économique et social à l’ère du numérique : http://www.laquadrature.net

 

 

Sont-ils soumis aux pressions des lobbies ?

Députés sous influences :
Le vrai pouvoir des lobbies à l’Assemblée nationale

de Vincent Nouzille, Hélène Constanty
Fayard (2006).

Que font nos 577 députés en dehors des séances de questions d’actualité, théâtre télévisé des joutes politiques ? Sont-ils soumis aux pressions des lobbies ? Sous quelle forme ? Qui y est le plus sensible, qui y résiste ? Au fond, pour qui roulent-ils vraiment ? Pour la première fois, une enquête dévoile la face cachée de l’Assemblée nationale et l’influence grandissante des groupes d’intérêts sur les élus. L’analyse des données officielles et de multiples interviews ont permis d’évaluer l’activité des députés… ou leur absentéisme. Découvrez les sept familles d’élus, des plus influents aux plus influençables : les incontournables ” VIP “, les ” laboureurs ” de circonscription, les ” experts ” reconnus, les ” porte-voix “, les ” multicartes “… Officiellement, les groupes de pression n’ont pas droit de cité à l’Assemblée nationale, mais les auteurs révèlent leur omniprésence. Laboratoires pharmaceutiques, industriels de l’armement et de l’agroalimentaire, filière nucléaire, chefs d’entreprise, médecins, viticulteurs, cafetiers, chasseurs : tous ont leurs défenseurs au Palais-Bourbon ! Le livre met au jour les méthodes controversées utilisées par certains lobbyistes pour faire passer leurs messages : trafic de badges d’accès, recrutement d’assistants parlementaires, interventions payantes lors de colloques, rédaction d’amendements ” prêts à l’emploi “, ” groupes d’études ” téléguidés, création de ” Clubs ” thématiques, organisation de voyages et de missions parlementaires à l’étranger… Soumis aux sollicitations insistantes des groupes d’intérêts, tant locaux que nationaux, nombre de députés résistent. Mais d’autres se laissent influencer. Devenant les relais de revendications catégorielles, ils interviennent en coulisses en faveur de ceux qui le leur demandent, votent certains textes et en enterrent d’autres. Plus rien n’échappe à ces jeux de pouvoirs occultes. Les lobbies sont à la manœuvre et certains députés dépassent parfois la ligne blanche… Il est grand temps d’ouvrir les yeux sur ces pratiques, pour mieux les encadrer.

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