Stop au système Microstock de casse des Droits des Auteurs !

surveillance

Des drones pour la “sécurité” des citoyens …

 

Dans cette vidéo de trois minutes le designer Alex Cornell imagine l' avenir de la ville de San Francisco avec une surveillance de la police (ou des militaires) avec des  drones qui patrouillent en permanence afin d'assurer la "sécurité" des citoyens …


Chaîne vidéo d'Alex Cornell

Alex Cornell Twitter

http://www.alexcornell.com/Our-Drone-Future

 

Big Brother : ces artistes qui prennent la défense de la vie privée

 

 

La seule erreur commise dans le domaine des armes de destruction a été la folie absurde du vingtième siècle, l'arme totale : la bombe qui tuait tout le monde. Cela allait trop loin. Il a fallu revenir en arrière, à l'arme tactique, en la spécialisant de plus en plus de sorte qu'elle atteigne seulement un objectif limité pour produire surtout un effet émotif. Philip K. Dick,  Dedalusman (The Zap Gun, 1967).

 

 

Patriot act à la française ?

 

 

Communiqué sur le site la Quadrature du net :

Paris, 10 décembre 2013 — Malgré l'importante mobilisation citoyenne et les nombreuses critiques exprimées à son encontre, le Sénat vient d'adopter le projet de loi relatif à la programmation militaire et ses dangereuses dispositions sans aucune modification. Cette adoption conforme par les sénateurs met un terme au travail parlementaire sur ce texte : seul le Conseil constitutionnel peut à présent empêcher l'application de ces dispositions attentatoires aux libertés fondamentales des citoyens. La Quadrature du Net appelle solennellement les parlementaires à déposer une saisine du Conseil constitutionnel pour que ce dernier se prononce sur la conformité de cette loi à la Constitution. Soutenons La Quadrature du Net !

En adoptant le projet de loi relatif à la programmation militaire pour les années 2014 à 2019 sans aucune modification,  les sénateurs viennent de mettre un terme aux travaux législatifs du Parlement sur ce dossier. Malgré les nombreux  avertissements exprimés tant par les organisations citoyennes1 que par des autorités publiques2, le texte adopté aujourd'hui permet :

la capture en temps réel d’informations et de documents (qui « peuvent être recueillis sur sollicitation du réseau et transmis en temps réel par les opérateurs aux agents mentionnés ») auprès aussi bien des hébergeurs que des fournisseurs de service,  de requérir ou capturer des « informations ou documents traités ou conservés par leurs réseaux ou services », et non plus seulement des données de connexion. l'élargissement de la liste des administrations qui peuvent requérir ces interceptions ou captures, par exemple au ministère de l’économie et du budget. l'élargissement des finalités de ces mesures à la sauvegarde du « potentiel scientifique et économique de la France »  et à la prévention « de la criminalité ou de la délinquance organisées ».

À ce stade de la procédure, seul le Conseil constitutionnel peut encore empêcher l'application de ces mesures ouvrant  la porte  une surveillance généralisée des informations et communications sur Internet. Celui-ci ne pourra examiner  la constitutionnalité du texte adopté cet après-midi qu'avec une saisine de 60 parlementaires, du Premier Ministre, ou du Président de la République. La Quadrature du Net appelle solennellement les élus des deux chambres du Parlement à entendre l'appel des citoyens, et à déposer au plus vite une demande de contrôle de constitutionnalité.

Dans le contexte des révélations d'Edward Snowden sur l'espionnage massif et généralisé des citoyens, il est choquant de voir le Parlement adopter un texte qui entérine l'état d'exception et permet de violer la vie privée des citoyens.  Les élus doivent entendre l'appel de la société civile et saisir le Conseil constitutionnel avant l'application de ces  ,mesures attentatoires aux libertés fondamentales » déclare Philippe Aigrain, cofondateur de La Quadrature du Net.

 

Pétition : Internet au service du peuple et non de l'État !

Sur l'humanité.fr

Sur le site du Conseil National du Numérique

 

 

Nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes. Déclaration universelle des droits de l'homme, article 12.

 

 

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Loppsi 2 : loi sécuritaire votée par le Sénat

La retraite des sénateurs

De la Démocratie à l’ère numérique


… Le pilier fondamental de la démocratie est l’intégrité inviolable de l’individu. L’intégrité humaine s’étend bien au-delà du corps physique.  Dans leurs pensées et dans leurs environnements personnels et de communication, tous les êtres humains ont le droit à une intimité sans encombre.

Ce droit fondamental est rendu caduc par l’abus de l’évolution technologique par les États et par les sociétés organisées à des fins de surveillance de masse.

Une personne placée sous surveillance n’est plus libre;  une société sous surveillance n’est plus une démocratie. Pour rester valides, nos droits démocratiques doivent s’appliquer aussi bien dans le virtuel que dans le concret …

La surveillance est un vol. Ces données ne sont pas un bien public : elles nous appartiennent. Quand elles sont utilisées pour prédire notre comportement, nous sommes spoliés d’autre chose : du principe de la libre volonté, essentiel à la liberté démocratique …


Pour une défense de la Démocratie à l’ère numérique.

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Photomontage non signé diffusé sur fesse book ..

Dérive sécuritaire, décret big brother, surveillance des internautes

 

Un décret publié au Journal Officiel  le 1er mars dernier,  impose aux  fournisseurs d’accès internet, aux hébergeurs, prestataires de services web et de réseaux sociaux,  à conserver durant un an de nombreuses  données personnelles, le but est de « permettre l’identification de toute personne physique ou morale ayant contribué à la création d’un contenu mis en ligne ». Bienvenue chez Big Brother !

Dans un État de droit, on ne place sous surveillance que les individus soupçonnés d’avoir commis un crime ou un délit. Dans les  démocraties qui se fissurent avec  le sécuritarisme : tout citoyen deviens  un suspect en puissance. 

Nous sortons du cadre de la légalité républicaine.

En juillet 2001, le Parlement européen s’était  opposé à la conservation des traces de connexion,  au motif que cela reviendrait à “donner carte blanche dans l’intrusion dans la vie privée des citoyens, en dérogation des droits de l’homme et des libertés fondamentales“.

Entre temps, il y a eu les attentats du 11 septembre 2001. La lutte anti-terroriste est devenu une sorte d’horizon liberticide ne pouvant être remis en cause …

Historique et analyse de cette dérive sécuritaire sur le blog Owni.fr

 

 

Rétention de données : le décret Big Brother publié au JO

La France parmi les pires nations d’Europe en matière de libertés individuelles

 


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Sécuritarisme et réforme de la Psychiatrie :

Appel contre La Nuit Sécuritaire

 

 

 

 

 

 

 

Loppsi 2

 24/12/2010

Le projet de loi Loppsi 2 (loi d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure) a été adoptée mardi 21 décembre à 305 voix contre 187 et 8 abstentions,  par l’Assemblée nationale en seconde lecture . Le Nouveau Centre a voté en faveur de la loi, toutefois son leader Hervé Morin s’est abstenu.

Le vote des députés,  les pour, les contre, les abstentions

 

 

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Cette loi de programmation et d’orientation pour la performance de la sécurité intérieure, seconde du genre, a été qualifiée par de nombreux professionnels – magistrats, avocats, travailleurs sociaux, acteurs de l’Internet, policiers et syndicats – de « fourre-tout sécuritaire » … Suite sur Politis.

Plusieurs fois reporté, et notamment en mai dernier, l’examen en deuxième lecture du projet de loi LOPPSI 2 (loi d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure) est encore repoussé au 14 décembre prochain … Suite sur Reporterre.

 

LOPPSI 2 : pas en notre nom !

21/12/2010
Loppsi 2: «une loi extrêmement dangereuse et régressive»
 

 

 

La Globalisation de la surveillance : Aux origines de l’ordre sécuritaire
Armand Matellart
La Découverte/Poche

Vidéosurveillance, fichage, empreintes génétiques, écoutes, puces RFID… Dans les régimes démocratiques, les différentes techniques d’intrusion dans la vie quotidienne des individus se multiplient, au nom de la lutte contre les " nouvelles menaces ". La " guerre contre le terrorisme " n’a fait que rendre plus oppressant ce monde qui nous rapproche de celui imaginé par George Orwell dans 1984. Pourquoi en sommes-nous arrivés là ? Comment les sociétés démocratiques ont-elles accepté que leurs droits et liberté soient peu à peu amputés par des dispositifs de surveillance de plus en plus sophistiqués ? De l’anthropométrie du XIXe siècle au Patriot Act, en passant par l’analyse des doctrines militaires et du projet Échelon, Armand Mattelart construit une généalogie de ce nouveau pouvoir de contrôle et étudie sa dynamique de mondialisation. Il montre qu’au nom de la défense de la liberté et des impératifs de sécurité nationale, les États ont construit et imposé une définition de l’ennemi de plus en plus floue, tellement floue qu’elle a permis et permet encore tous les abus. Ce livre invite à une prise de conscience indispensable à l’heure où le seuil de tolérance des sociétés démocratiques à l’égard de la surveillance ne cesse de baisser.

Biographie de l’auteur
Expulsé du Chili, après y avoir séjourné onze ans, lors du coup d’Etat du 11 septembre 1973, Armand Mattelart intègre alors l’université française. Il est aujourd’hui professeur émérite de sciences de l’information et de la communication à l’université Paris-VIII. Il a notamment publié, aux Editions La Découverte, Diversité culturelle et mondialisation, Histoire de la société de l’information, Histoire des théories de la communication (avec Michèle Mattelart), ou encore Introduction aux Cultural Studies (avec Erik Neveu).

 

Interview de Mattelart A : Face à la globalisation de la surveillance, "la résistance est le devoir de tout citoyen".
Extrait : Le lundi noir de l’automne 2008 a remis sur le devant de la scène l’idée de régulation et de politiques publiques, tant au niveau national que global. Il ne s’agît pas seulement d’une crise du système financier, mais d’une crise du modèle global de société duquel il est partie prenante. Ce qui veut dire que nous n’en viendrons pas à bout à coup de plans de sauvetage par injection sur le dos des contribuables de sommes astronomiques dans les économies en manque de liquidités. La convergence de la crise financière, de la crise énergétique, de la crise alimentaire, de la crise climatique, toutes génératrices de foyers de crise sociale, indique que de crise de civilisation il est question. Cette crise de sens, c’est ce que tentent d’enrayer les réflexions et propositions visant à considérer l’argent comme “bien public commun”, afin d’empêcher qu’une poignée de traders ne jouent avec la circulation des flux et provoquent l’appauvrissement et le mal-être de sociétés entières. Cette idée de bien public commun qui renvoie à celle de service public, va bien au-delà de cette la denrée monétaire. Elle touche à tout ce qui est aujourd’hui l’enjeu des stratégies d’appropriation privée, de patrimonialisation, de biens comme le vivant, le savoir, la culture, la communication, l’eau, le spectre des fréquences…

Suite sur Article II

 

Espionnage de journalistes?

Espionnage d’ordinateurs privés ?

 

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