Philip K. Dick
L’homme unidimensionnel
La langue populaire s’attaque avec un humour provoquant et plein de dépit, au discours officiel et semi officiel … C’est comme si l’homme de la rue affirmait son humanité dans son langage, en l’opposant aux pouvoirs existants, c’est comme si le refus et la révolte qui sont maîtrisés au niveau politique éclataient dans un vocabulaire qui appelle les choses par leur nom. Marcuse, l’Homme unidimensionnel, Points-Seuil,1964.
Marcuse, Bourdieu et l’héritage de Marx, de Freud et de Wittgenstein.
Vide de tout stimulus
Les simulacres vous soutenaient le moral dans un nouvel environnement plein de stimuli étranges, ou, peut être, et c’était pire, vide de tous stimulus. Philip K. Dick, The Simulacra, 1964.
Amerrissage
Ou bien était-ce que, dans un coin reculé de son inconscient, il espérait toujours trouver un moyen de s’en sortir et de retourner sur la Terre ? Philip K. Dick, The three stigmata of Palmer Eldritch.
Des robots journalistes
C’est sur le Monde.fr, un papier d’Yves Eudes (est ce une machine ?), une histoire de robots-journalistes, des bidules informatiques haut de gamme (from usa) capable d’ingérer moult données et de les recracher sous forme d’articles pour les feuilles : compte rendu de match, échos de la Bourse …
Iront-ils jusqu’à produire les interviews exclusives de Madame Cyber-Ubu ?
John Lennon venait de se faire tuer et je crois savoir pourquoi nous sommes sur cette terre. C’est pour découvrir que ce que vous aimez le plus vous sera enlevé, sans doute à cause d’une erreur en haut lieu plutôt qu’à titre délibéré. Philip K. Dick, La transmigration de Timothy Archer , 1982.
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