économie
L’ élite mondiale à l’abri de la “crise ” … !
Sur le blog Le Monolecte :
… La récession qui ravage actuellement les classes populaires et menace les classes moyennes des grands pays industrialisés du monde n’est pas la démonstration de l’échec des politiques de rigueur mises en place depuis 2008, mais bien la preuve éclatante que le transfert global des richesses vers une petite part de l’humanité est en train d’entrer dans sa phase efficace… Billet intégral : blog.monolecte.fr
La lumière du jour …
Dette, spéculation financière, politiques sociales
Les économistes atterrés : changer d’économie ! Nos propositions pour 2012.
Editions les liens qui libèrent (janvier 2012).
Postface :
Parmi les économistes de premier plan qui participent à cet ouvrage : Philippe Askénazy, André Orléan, Henri Sterdyniak, Benjamin Coriat, Frédéric Lordon, Thomas Coutrot…
Un livre qui rompt avec l’idéologie dominante et donne les moyens de sortir de l’impasse dans laquelle nous nous trouvons. Un livre essentiel pour que chaque citoyen devienne acteur du débat public.
Les Economistes atterrés, qui comptent près de 2000 membres en France, s’opposent au diktat néo-libéral de la logique économique actuelle. Ils éclairent le débat public sur la possibilité et la nécessité d’autres politiques. En octobre 2010 ils ont publié leur Manifeste qui a rencontré un grand succès international.
Ce livre est le 3ième, publié par le collectif de chercheurs : Changer d’économie! Les économistes y dénoncent un recul social de plus de 40 ans au niveau de la sécurité sociale, le site Viva presse reprends les propos d’un membre de ce collectif, Benjamin Coriat :
Dans cet ouvrage-ci, nous voulons tordre le cou à l’idée que la crise est la conséquence de dépenses publiques liées à une politique sociale trop dispendieuse. Il s’agit d’une mystification. Ne nous trompons pas de crise. La dette est intégralement provoquée par la spéculation financière. C’est le coût de la crise financière qui nous a mis dedans. Il est donc aberrant de taper sur les politiques sociales. Cette folie sur les cures d’austérité ne va pas nous faire sortir du trou. En 2011, les entreprises du Cac 40 ont distribué 37 milliards d’euros sous forme de dividende. En regard, le coût de la dette publique est de 45 à 48 milliards d’euros. On appréciera…
… dans les médias, la protection sociale continue d’être présentée comme un puits sans fond, et la persistance des besoins de financement (les fameux déficits) comme le résultat d’une croissance sans cesse plus forte des dépenses. L’analyse des comptes sociaux dément ce discours. La part de dépenses sociales dans le PIB est à peu près stable depuis 15 ans” … Billet intégral.
Le site des Economistes atterrés